jeudi 20 septembre 2007

O bon vent du sud,


O bon vent du sud, quand t’es ce que tu va soufflé ?
Pour gonfler les voiles de ma destiné et m’envoyez moi vers le large
Pour chauffer un cœur froid et inerte que plus rien n’intéresse
Pour jouer un nouveau air sur les cordes de ma sensibilité.
Pour chasser les idées noires qui peuplent ma tête
Pour souffler de la vie dans mon âme agonisante
Et pour raviver les flemmes mourante de ma volonté.

Mais jusqu’à maintenant, mon bateau garde toujours le quais
Je fais du sur place.
Et je rumine une existence fade et sans intérêt.

Allez bon vent du sud, pousse moi loin, très loin,
Peu importe la direction, peu importe le sens,
L’essentielle est de quitter cette entonnoir,
Et de vaincre le grand tourbillon ou je tourne.

Souffle, et peu importe combien peut être ta force
Peu importe si je me casse la coque
Ou que je me brise le gouvernail,
Ça sera toujours un pas en avant
Vers l’accomplissement d’une promesse.
Qui ne devrait me guidé que vers la réussite.