Words like violence
Break the silence
Come crashing in
Into my little world
Painful to me
Pierce right through me
Can't you understand
Oh my little girl
All I ever wanted
All I ever needed
Is here in my arms
Words are very unnecessary
They can only do harm
Vows are spoken
To be broken
Feelings are intense
Words are trivial
Pleasures remain
So does the pain
Words are meaningless
And forgettable
All I ever wanted
All I ever needed
Is here in my arms
Words are very unnecessary
They can only do harm
Enjoy the silence
mardi 25 septembre 2007
dimanche 23 septembre 2007
Rencontre
Ils avancèrent dans la vallée rocheuse et inerte. Ils se tenaient la main. Il n’y avait pas la moindre brise dans l’air. Tout était très calme. Mais cette tranquillité abyssale jouait une mélodie ensorcelante, qui les mettait dans une bulle. Comme si rien n’existait autour d’eux. Ni vie, ni terre et ni matière.
Ils marchaient ainsi dans cette endroit magique, sans le mot, mais avec beaucoup de chaleur.
Ils n’avait pas besoin de parler. Chacun des deux, essayait de profiter au maximum de la sensation que procurait la présence de l’autre.
Les yeux ouvertes, certes, n’avaient pas besoin de voir quoi que se soit. Les oreilles distillaient avec précision, le moindre bruit infinitésimale que faisait le pas ou le souffle de l’autre.
Leurs mains étaient enchevêtrées l’une dans l’autre jusqu’à l’os. Mais, ils n’éprouvaient qu’une douceur agréable.
Chacun était tellement concentrer sur la présence de l’autre, que plus rien d’autre n’avait de l’importance. S’il le pouvaient, ils auraient même pu oublier de respirer.
Ils avançaient lentement, tranquillement dans une démarche ordonné et synchrone. Chacun avait un drôle de rictus sur la bouche, le genre de sourire que l’on peut voire sur le visage d’un bébé affamé quand il rencontre le sein de sa mère, après une longue journée de séparation.
Ila avançaient, un pas derrière l’autre, vers la falaise qui se dressait devant eux.
Puis ils s’arrêtaient au bord du gouffre.
Ils se tournaient l’un vers l’autre. Alors elle lui a dit :
- je ne peux plus rester maintenant.
- Pourquoi ? répond dit-il d’une voix tremblante et serrée.
- Tu savais que j’allais disparaître d’un instant à un autre!
- Oui je savais, mais pourquoi je dois endurer ça tout seul. Cette séparation m’empêche de vivre qu’avec tes souvenirs. Je ne peux plus sourire sans penser au jour ou tout s’est effondré.
- Je sais. Mais il faut que tu continue ta vie, lui répondit elle. Tu dois bien terminer ton chemin, bien que sans moi. Ta destiné est devant toi. Moi je ne suis qu’un passé que tu dois laisser derrière.
- Tu ne peux pas être mon passé, car tu es toujours présente en moi.
- Il faut que tu te libère de cette souffrance qui t’accable. Ma vie ne t’a fait que du bien. Ma mort, aussi dur a accepté soit elle, ne doit pas détruire ton existence
- Je ne peux pas. J’en peux plus! c’est tréééééééés dur. A t’il répondu tout en rabaissant la tête et en fondant en sanglot.
- Je sais. Mais essaye de me joindre au paradis.
- Je ne peux attendre. Je souffre.
- Tu ne dois pas attendre, mais tu dois agir! Sème les grains du bien autour de toi. Garde ton cap vers la satisfaction de dieu. Et donne à ton prochain.
- Et la solitude ?
- Tu n’es jamais seul !
Puis elle s’est tu pendant un instant. Il a commencé à sentir l’imminence de son départ. Il a serré d’avantage ses mains entre les siens, bien que sachant que c’était une vaine tentative.
Elle lui a alors dit, tout t’en scannant chaque recoin de son visage :
- Fais moi une faveur ! De temps en temps, donne de ton argent, aumône à ma mémoire.
Puis elle a ajouté tout en disparaissant :
- Prend soin de toi, et après un bref silence elle ajouta, pour moi !
Il est resté seul et immobile, la tête penchée vers le bas. Ses larmes pleuvaient par terre.
Son doux rêve est entrain de se terminer.
Ils marchaient ainsi dans cette endroit magique, sans le mot, mais avec beaucoup de chaleur.
Ils n’avait pas besoin de parler. Chacun des deux, essayait de profiter au maximum de la sensation que procurait la présence de l’autre.
Les yeux ouvertes, certes, n’avaient pas besoin de voir quoi que se soit. Les oreilles distillaient avec précision, le moindre bruit infinitésimale que faisait le pas ou le souffle de l’autre.
Leurs mains étaient enchevêtrées l’une dans l’autre jusqu’à l’os. Mais, ils n’éprouvaient qu’une douceur agréable.
Chacun était tellement concentrer sur la présence de l’autre, que plus rien d’autre n’avait de l’importance. S’il le pouvaient, ils auraient même pu oublier de respirer.
Ils avançaient lentement, tranquillement dans une démarche ordonné et synchrone. Chacun avait un drôle de rictus sur la bouche, le genre de sourire que l’on peut voire sur le visage d’un bébé affamé quand il rencontre le sein de sa mère, après une longue journée de séparation.
Ila avançaient, un pas derrière l’autre, vers la falaise qui se dressait devant eux.
Puis ils s’arrêtaient au bord du gouffre.
Ils se tournaient l’un vers l’autre. Alors elle lui a dit :
- je ne peux plus rester maintenant.
- Pourquoi ? répond dit-il d’une voix tremblante et serrée.
- Tu savais que j’allais disparaître d’un instant à un autre!
- Oui je savais, mais pourquoi je dois endurer ça tout seul. Cette séparation m’empêche de vivre qu’avec tes souvenirs. Je ne peux plus sourire sans penser au jour ou tout s’est effondré.
- Je sais. Mais il faut que tu continue ta vie, lui répondit elle. Tu dois bien terminer ton chemin, bien que sans moi. Ta destiné est devant toi. Moi je ne suis qu’un passé que tu dois laisser derrière.
- Tu ne peux pas être mon passé, car tu es toujours présente en moi.
- Il faut que tu te libère de cette souffrance qui t’accable. Ma vie ne t’a fait que du bien. Ma mort, aussi dur a accepté soit elle, ne doit pas détruire ton existence
- Je ne peux pas. J’en peux plus! c’est tréééééééés dur. A t’il répondu tout en rabaissant la tête et en fondant en sanglot.
- Je sais. Mais essaye de me joindre au paradis.
- Je ne peux attendre. Je souffre.
- Tu ne dois pas attendre, mais tu dois agir! Sème les grains du bien autour de toi. Garde ton cap vers la satisfaction de dieu. Et donne à ton prochain.
- Et la solitude ?
- Tu n’es jamais seul !
Puis elle s’est tu pendant un instant. Il a commencé à sentir l’imminence de son départ. Il a serré d’avantage ses mains entre les siens, bien que sachant que c’était une vaine tentative.
Elle lui a alors dit, tout t’en scannant chaque recoin de son visage :
- Fais moi une faveur ! De temps en temps, donne de ton argent, aumône à ma mémoire.
Puis elle a ajouté tout en disparaissant :
- Prend soin de toi, et après un bref silence elle ajouta, pour moi !
Il est resté seul et immobile, la tête penchée vers le bas. Ses larmes pleuvaient par terre.
Son doux rêve est entrain de se terminer.
Il alla se réveiller dans un instant.
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