Le ballon continuait sa chute lentement, et les têtes des rochers ont commencé à montrer leurs têtes stridentes.
Nous étions cinq sur ce dirigeable touristique gonflé à l’air chaud. Nous avons quitté la base touristiques depuis trente minutes pour un petit parcours dans les airs au dessus de la Cappadoce turque. La saison n’est pas connu pour la déferlassions de clientèle étrangère. Mais, j’ai cru que j’avais beaucoup de chance quand un ami a réussi à m’avoir ces quatre touriste allemands que j’ai embarqué dans le silence dans ce périple.
Il faut dire que le temps était très agréable et que il n’y avait pas d’orage dans l’air. C’est pourquoi, je me suis aventuré ce jour ci, et j’ai ramené mon dirigeable à la base de lancement.
Quand j’ai su que le groupe viendrai, j’ai branché la bouteille de gaz, et entamé le gonflage du ballon et le nettoyage du panier qui allait accueillir les passagers.
Ils étaient quatre personnes. Le premier à embarqué était un gamin de 16 ans, les yeux enragés, le visage pale et les traits crispés. Malgré son jeune âge, on discernait facilement une grosse colère à l’intérieure de lui qui je pense était du à son âge d’adolescent. Puis un jeune couple à pris sa place toute de suite après. Je ne peux pas dire que je sentais l’harmonie entre ces deux là. Ils étaient claires que ça n’allait pas du tout entre eux. Rien qu’a voir les gestes brusques qu’ils s’échangeaient soit disant accidentellement. Et puis les mots venimeuses mais bien enveloppé qu’ils se balançaient de temps en temps.
Et puis à la fin, un vielle homme dans la soixantaine, bien entretenu et ayant un grand sourire sur le visage, a pris lui aussi sa place, et nous avons levée l’ancre.
Le ballon s’est levé lentement dans les airs. Et nous avons engagé le paysage magistieux des montagnes de la Cappadoce. Moi, je m’occupais de diriger le ballon et de gérer le bruleur, alors que les touristes étaient bouche baie et sidérer de voir ce paysage lunaire. Même le couple s’est assagi et un silence magistrale a plané dans la barque.
Mais soudain, les vents ont complètement cessés et le ballon s’est arrêté dans les airs au dessus de l’immense valet. Les touristes ne se sont pas rendu compte de la gravité de la situation. Mais après 5 minutes, le garçon a remarqué que le bruleur a lui aussi rendu l’âme.
La panique s’est installée alors dans la barque, et j’ai du subir une avalanche d’insulte que je n’ai pu qu’accepter. Mais, la situation était très dangereuse. Et puis le gonflable a commencé à perdre de l’altitude petit à petit au dessus des rochers. J’ai alors rassemblé mon courage, et avec mon allemand cassé, j’ai expliqué aux passagers que si nous n’allégerions pas l’embarcation, nous irions alors directement à une mort certaine.
Lorsqu’ils ont entendu ça, ils ont voulu, au debut, me jeté par dessus bord. Et puis, ils ont réalisé que j’étais le seul à pouvoir diriger le ballon, et que la mince lueur d’espoir qu’ils pourraient espérer, dépendrait certainement de ma vie. Tout le monde a commencé alors à se débarrasser de tout ce qu’il peut. Au début, ils ont jeté leurs sac à dos, puis leurs vêtements puis leurs chaussure. Ils m’ont obligé après à jeter le bruleur par dessus bord. Et bien que la descente à ralenti, mais nous n’avons pas encore dépassé le grand ravin.
C’est alors, que le jeune garçon, s’est levé et a dit :
- A 2 ans, j’ai déjà perdu ma mère. Mon père je ne l’ai jamais vu. J’ai vi avec mes grand parents toute ma jeunesse pourri. Je n’ai jamais aimé l’école. Je n’ai jamais aimé réellement mes camarades. La seule fille que j’ai aimé vient de me laisser tomber car elle a rencontré un mec plus âgé et plus futé, ayant une belle voiture et beaucoup d’argent. Ce mec, à tout fait pour me pourrir la vie au sein du lycée et a utilisé ses relations et son pouvoir pour me virer de la bas. Le monde est vraiment pourri. Nous les hommes sommes le cancer de la vie. Si nous sommes dans cette situation c’est surtout à cause de nous humains qui ne pensant qu’a nos petits bien matériaux, en dépits de la nature et de tout le monde. Et puis, merde à tout le monde, merde à dieu et merde à vous vieux cons. Je ne veux pas grandir pour me chamailler avec une femme, ni vieillir pour vouloir montrer tout le temps un semblant de bonheur à tout le monde. Je suis heureux de ne plus vivre avec vous. Passer le salut à mes grands parents et dites leurs que j’ai fais ça pour qu’ils soient, au moins une fois dans leurs vie, fières de moi.
Et puis, il s’est appuyé contre le bord du panier et a sauté dans le vie tout en balançant les bras. C’était très terrifiant que d’entendre un cri jeune, certes, plein de peur, mais rempli de courage aussi, disparaître petit à petit. Jusqu’à ce que le corps a disparu de nos yeux.
La femme a fondu en sanglot. Son mari a viré au mauve. Quand au vieille homme, il a continué de suivre l’endroit ou a tombé le garçon, par son regard.
Malgré la gravité de la situation, ce vieux gardait le regard serin et l’œil vif. Et puis quand il a vu que le ballon continuait sa descente vers la mort, il s’ai mi debout et a dit :
- J’ai connu une vie très mouvementé, pleine de bonheur et de malheur, de succès et d’échecs, de richesse et de pauvreté. J’ai bien roulé ma bosse. Mais, croyez moi malgré toute la vie qui se dégage de moi, je suis mort depuis l’âge de 33 ans. J’ai perdu l’amour de ma vie cette année la dans un accident très bête. Et malgré que je me suis ressaisi après, je ne suis plus redevenu le même. J’ai beau connu d’autre femmes après elle, j’ai beau connu la gloire et l’échec, j’ai beau avoir voyagé un peu partout dans le tout le globe, il n’est jamais passé un jour ou je ne pensais à elle. Dans mes malheurs je me souvenais de son sourire et dans mes bonheurs je regrettais les jours ou elle était avec moi à mes côtés. J’ai passé les trentaines d’années qui ont suivi sa mort à avoir honte de vivre après elle et à souhaiter chaque jour de mourir dans mon sommeil. Tout ce que j’ai fait de bien après sa mort je l’ai fais en parti pour sa mémoire. El les erreurs que j’ai pu commettre ont été essentiellement du à ma lâcheté et à mon égoïsme. Je vais profiter de cette chance qui s’offre à moi, pour faire la dernière bonne action de ma vie. Et puis j’y cours pour la rejoindre. Dite à tout les amis qui vont me pleurer que je les ai aimé avec sincérité. Mais, j’ai pas pu raté cette occasion de rejoindre mon amour.
Il a dit ses dernières phrases d’une voie ému et j’ai pu voire ses yeux qui brillaient les larmes en flottant dans les airs après avoir sauté par dessus bord.
La femme a commencé à hurler comme une folle. Son mari, lui, a fondu en sanglot et s’est cloué au fond du panier. Sa femme s’est assis alors à son tour en face de lui et a mis la tête entre ses bras et a continué de pleurer tout en marmonnant des mots intelligibles.
Puis, j’ai vu le mari qui lève le regarde pour regarder sa femme. Puis, il a levé la bras comme si pour lui toucher les cheveux. Mais il a retiré sa main à mis chemin. Et puis après un long silence au court du quel le ballon a activé la cadence de sa chute, le mari a fixé sa femme des yeux et puis a dit :
- Je pense que j’ai eu beaucoup plus de chance que le gamin, car lui n’a jamais trouvé un sens à sa vie. Alors que moi je t’ai trouvé toi, et tu m’as aimé et tu ne m’as jamais laissé tombé au début de ma carrière professionnel. Je pense aussi que j’ai eu beaucoup plus de chance que le vieux car tu as étais toujours là et tu ne m’a pas quitté quand j’ai commencé à consacrer l’essentielle de mon temps dans le travail et la collecte de l’argent. Aussi, je pense que je ne mérite pas cette chance car je me suis permis malgré tout à te tromper avec des filles qui ne valent même pas un de tes cheveux, sous prétexte que sa m’aide à résister au stress du travail et sou prétexte que tu ne t’occupais plus de moi comme avant. Je dis ça car quand à l’instant, j’ai voulu te touché, j’ai senti combien j’étais impure et sale pour me permettre de souillé ta pureté. Je sais que tu doutais de ce que j’étais entrains de faire derrière ton dos. Et je sais que toi aussi tu as étais tenté de te faire un amant pour compenser le vide que j’ai créé et venger ainsi ton honneur perdu. Mais, je sais aussi que tu ne l’as pas fais car tu attendais d’être sure de ma tromperie avant. Les preuves ne te manquaient pas, mais tu t’es obstiné à me donner chaque jour une dernière chance. Une chance que je n’ai fais que de la rejeter chaque fois ou l’occasion se présente. Je regrette que tu m’as connu car je ne te mérite pas. Je n’ai pas su te traiter. Je n’ai pas su te rendre le bonheur que tu me donnais. Chaque fois ou je me plaignais de ton caractère, j’oubliais que tu étais entrain de me retourner inconsciemment mes agissement et mon comportement avec toi. J’ai souillé notre relation pur avec mon égoïsme. J’ai laissé tomber tout les merveilleux moments que nous avons connu au début de notre relation. Je n’ai pas su garder la flemme de notre amour alors que j’en étais le premier responsable. Je ne t’ai jamais mérité mon amour. Mais je t’ai aimais. Puis j’ai oublié que je t’aimais. Et maintenant je me rend compte que je t’aime plus que tout. Et puis pardonne moi.
Et puis, il s’est mis debout rapidement devant le regard surpris de sa femme, et il s’est jeté dans le vide.
Sa femme a sauté de sa place pour essayer vainement de le retenir. Puis elle m’a jeté un regard terrifiant sans aucune larme dans ses yeux. Et avec une voix sec et ferme elle m’a dit :
- Va au diable fils de pute. Tout ça est de ta faute espèce de con. J’espère que tu ira en enfer.
Puis elle s’est jeté à son tour dans les airs derrière son mari.
Ensuite, je ne sais pas avec quel miracle, j’ai pu regagner le bord du ravin. Je me dois d’assumer la responsabilité de tout ce qui s’est passé. Je n’ai pas cherché à fuir car je pense que j’avais le devoir de rapporter ce que j’ai vu et entendu au bord du dirigeable. Que dieu pardonne l’erreur fatal que j’ai commis en négligeant de vérifier l’état des bouteilles de gaz du bruleur. Je suis obligé de rêver chaque nuit du regard que m’a lancé la femme avant son saut. Que dieu me pardonne.
Nous étions cinq sur ce dirigeable touristique gonflé à l’air chaud. Nous avons quitté la base touristiques depuis trente minutes pour un petit parcours dans les airs au dessus de la Cappadoce turque. La saison n’est pas connu pour la déferlassions de clientèle étrangère. Mais, j’ai cru que j’avais beaucoup de chance quand un ami a réussi à m’avoir ces quatre touriste allemands que j’ai embarqué dans le silence dans ce périple.
Il faut dire que le temps était très agréable et que il n’y avait pas d’orage dans l’air. C’est pourquoi, je me suis aventuré ce jour ci, et j’ai ramené mon dirigeable à la base de lancement.
Quand j’ai su que le groupe viendrai, j’ai branché la bouteille de gaz, et entamé le gonflage du ballon et le nettoyage du panier qui allait accueillir les passagers.
Ils étaient quatre personnes. Le premier à embarqué était un gamin de 16 ans, les yeux enragés, le visage pale et les traits crispés. Malgré son jeune âge, on discernait facilement une grosse colère à l’intérieure de lui qui je pense était du à son âge d’adolescent. Puis un jeune couple à pris sa place toute de suite après. Je ne peux pas dire que je sentais l’harmonie entre ces deux là. Ils étaient claires que ça n’allait pas du tout entre eux. Rien qu’a voir les gestes brusques qu’ils s’échangeaient soit disant accidentellement. Et puis les mots venimeuses mais bien enveloppé qu’ils se balançaient de temps en temps.
Et puis à la fin, un vielle homme dans la soixantaine, bien entretenu et ayant un grand sourire sur le visage, a pris lui aussi sa place, et nous avons levée l’ancre.
Le ballon s’est levé lentement dans les airs. Et nous avons engagé le paysage magistieux des montagnes de la Cappadoce. Moi, je m’occupais de diriger le ballon et de gérer le bruleur, alors que les touristes étaient bouche baie et sidérer de voir ce paysage lunaire. Même le couple s’est assagi et un silence magistrale a plané dans la barque.
Mais soudain, les vents ont complètement cessés et le ballon s’est arrêté dans les airs au dessus de l’immense valet. Les touristes ne se sont pas rendu compte de la gravité de la situation. Mais après 5 minutes, le garçon a remarqué que le bruleur a lui aussi rendu l’âme.
La panique s’est installée alors dans la barque, et j’ai du subir une avalanche d’insulte que je n’ai pu qu’accepter. Mais, la situation était très dangereuse. Et puis le gonflable a commencé à perdre de l’altitude petit à petit au dessus des rochers. J’ai alors rassemblé mon courage, et avec mon allemand cassé, j’ai expliqué aux passagers que si nous n’allégerions pas l’embarcation, nous irions alors directement à une mort certaine.
Lorsqu’ils ont entendu ça, ils ont voulu, au debut, me jeté par dessus bord. Et puis, ils ont réalisé que j’étais le seul à pouvoir diriger le ballon, et que la mince lueur d’espoir qu’ils pourraient espérer, dépendrait certainement de ma vie. Tout le monde a commencé alors à se débarrasser de tout ce qu’il peut. Au début, ils ont jeté leurs sac à dos, puis leurs vêtements puis leurs chaussure. Ils m’ont obligé après à jeter le bruleur par dessus bord. Et bien que la descente à ralenti, mais nous n’avons pas encore dépassé le grand ravin.
C’est alors, que le jeune garçon, s’est levé et a dit :
- A 2 ans, j’ai déjà perdu ma mère. Mon père je ne l’ai jamais vu. J’ai vi avec mes grand parents toute ma jeunesse pourri. Je n’ai jamais aimé l’école. Je n’ai jamais aimé réellement mes camarades. La seule fille que j’ai aimé vient de me laisser tomber car elle a rencontré un mec plus âgé et plus futé, ayant une belle voiture et beaucoup d’argent. Ce mec, à tout fait pour me pourrir la vie au sein du lycée et a utilisé ses relations et son pouvoir pour me virer de la bas. Le monde est vraiment pourri. Nous les hommes sommes le cancer de la vie. Si nous sommes dans cette situation c’est surtout à cause de nous humains qui ne pensant qu’a nos petits bien matériaux, en dépits de la nature et de tout le monde. Et puis, merde à tout le monde, merde à dieu et merde à vous vieux cons. Je ne veux pas grandir pour me chamailler avec une femme, ni vieillir pour vouloir montrer tout le temps un semblant de bonheur à tout le monde. Je suis heureux de ne plus vivre avec vous. Passer le salut à mes grands parents et dites leurs que j’ai fais ça pour qu’ils soient, au moins une fois dans leurs vie, fières de moi.
Et puis, il s’est appuyé contre le bord du panier et a sauté dans le vie tout en balançant les bras. C’était très terrifiant que d’entendre un cri jeune, certes, plein de peur, mais rempli de courage aussi, disparaître petit à petit. Jusqu’à ce que le corps a disparu de nos yeux.
La femme a fondu en sanglot. Son mari a viré au mauve. Quand au vieille homme, il a continué de suivre l’endroit ou a tombé le garçon, par son regard.
Malgré la gravité de la situation, ce vieux gardait le regard serin et l’œil vif. Et puis quand il a vu que le ballon continuait sa descente vers la mort, il s’ai mi debout et a dit :
- J’ai connu une vie très mouvementé, pleine de bonheur et de malheur, de succès et d’échecs, de richesse et de pauvreté. J’ai bien roulé ma bosse. Mais, croyez moi malgré toute la vie qui se dégage de moi, je suis mort depuis l’âge de 33 ans. J’ai perdu l’amour de ma vie cette année la dans un accident très bête. Et malgré que je me suis ressaisi après, je ne suis plus redevenu le même. J’ai beau connu d’autre femmes après elle, j’ai beau connu la gloire et l’échec, j’ai beau avoir voyagé un peu partout dans le tout le globe, il n’est jamais passé un jour ou je ne pensais à elle. Dans mes malheurs je me souvenais de son sourire et dans mes bonheurs je regrettais les jours ou elle était avec moi à mes côtés. J’ai passé les trentaines d’années qui ont suivi sa mort à avoir honte de vivre après elle et à souhaiter chaque jour de mourir dans mon sommeil. Tout ce que j’ai fait de bien après sa mort je l’ai fais en parti pour sa mémoire. El les erreurs que j’ai pu commettre ont été essentiellement du à ma lâcheté et à mon égoïsme. Je vais profiter de cette chance qui s’offre à moi, pour faire la dernière bonne action de ma vie. Et puis j’y cours pour la rejoindre. Dite à tout les amis qui vont me pleurer que je les ai aimé avec sincérité. Mais, j’ai pas pu raté cette occasion de rejoindre mon amour.
Il a dit ses dernières phrases d’une voie ému et j’ai pu voire ses yeux qui brillaient les larmes en flottant dans les airs après avoir sauté par dessus bord.
La femme a commencé à hurler comme une folle. Son mari, lui, a fondu en sanglot et s’est cloué au fond du panier. Sa femme s’est assis alors à son tour en face de lui et a mis la tête entre ses bras et a continué de pleurer tout en marmonnant des mots intelligibles.
Puis, j’ai vu le mari qui lève le regarde pour regarder sa femme. Puis, il a levé la bras comme si pour lui toucher les cheveux. Mais il a retiré sa main à mis chemin. Et puis après un long silence au court du quel le ballon a activé la cadence de sa chute, le mari a fixé sa femme des yeux et puis a dit :
- Je pense que j’ai eu beaucoup plus de chance que le gamin, car lui n’a jamais trouvé un sens à sa vie. Alors que moi je t’ai trouvé toi, et tu m’as aimé et tu ne m’as jamais laissé tombé au début de ma carrière professionnel. Je pense aussi que j’ai eu beaucoup plus de chance que le vieux car tu as étais toujours là et tu ne m’a pas quitté quand j’ai commencé à consacrer l’essentielle de mon temps dans le travail et la collecte de l’argent. Aussi, je pense que je ne mérite pas cette chance car je me suis permis malgré tout à te tromper avec des filles qui ne valent même pas un de tes cheveux, sous prétexte que sa m’aide à résister au stress du travail et sou prétexte que tu ne t’occupais plus de moi comme avant. Je dis ça car quand à l’instant, j’ai voulu te touché, j’ai senti combien j’étais impure et sale pour me permettre de souillé ta pureté. Je sais que tu doutais de ce que j’étais entrains de faire derrière ton dos. Et je sais que toi aussi tu as étais tenté de te faire un amant pour compenser le vide que j’ai créé et venger ainsi ton honneur perdu. Mais, je sais aussi que tu ne l’as pas fais car tu attendais d’être sure de ma tromperie avant. Les preuves ne te manquaient pas, mais tu t’es obstiné à me donner chaque jour une dernière chance. Une chance que je n’ai fais que de la rejeter chaque fois ou l’occasion se présente. Je regrette que tu m’as connu car je ne te mérite pas. Je n’ai pas su te traiter. Je n’ai pas su te rendre le bonheur que tu me donnais. Chaque fois ou je me plaignais de ton caractère, j’oubliais que tu étais entrain de me retourner inconsciemment mes agissement et mon comportement avec toi. J’ai souillé notre relation pur avec mon égoïsme. J’ai laissé tomber tout les merveilleux moments que nous avons connu au début de notre relation. Je n’ai pas su garder la flemme de notre amour alors que j’en étais le premier responsable. Je ne t’ai jamais mérité mon amour. Mais je t’ai aimais. Puis j’ai oublié que je t’aimais. Et maintenant je me rend compte que je t’aime plus que tout. Et puis pardonne moi.
Et puis, il s’est mis debout rapidement devant le regard surpris de sa femme, et il s’est jeté dans le vide.
Sa femme a sauté de sa place pour essayer vainement de le retenir. Puis elle m’a jeté un regard terrifiant sans aucune larme dans ses yeux. Et avec une voix sec et ferme elle m’a dit :
- Va au diable fils de pute. Tout ça est de ta faute espèce de con. J’espère que tu ira en enfer.
Puis elle s’est jeté à son tour dans les airs derrière son mari.
Ensuite, je ne sais pas avec quel miracle, j’ai pu regagner le bord du ravin. Je me dois d’assumer la responsabilité de tout ce qui s’est passé. Je n’ai pas cherché à fuir car je pense que j’avais le devoir de rapporter ce que j’ai vu et entendu au bord du dirigeable. Que dieu pardonne l’erreur fatal que j’ai commis en négligeant de vérifier l’état des bouteilles de gaz du bruleur. Je suis obligé de rêver chaque nuit du regard que m’a lancé la femme avant son saut. Que dieu me pardonne.