mardi 10 juillet 2007

La chutte


Le ballon continuait sa chute lentement, et les têtes des rochers ont commencé à montrer leurs têtes stridentes.
Nous étions cinq sur ce dirigeable touristique gonflé à l’air chaud. Nous avons quitté la base touristiques depuis trente minutes pour un petit parcours dans les airs au dessus de la Cappadoce turque. La saison n’est pas connu pour la déferlassions de clientèle étrangère. Mais, j’ai cru que j’avais beaucoup de chance quand un ami a réussi à m’avoir ces quatre touriste allemands que j’ai embarqué dans le silence dans ce périple.

Il faut dire que le temps était très agréable et que il n’y avait pas d’orage dans l’air. C’est pourquoi, je me suis aventuré ce jour ci, et j’ai ramené mon dirigeable à la base de lancement.
Quand j’ai su que le groupe viendrai, j’ai branché la bouteille de gaz, et entamé le gonflage du ballon et le nettoyage du panier qui allait accueillir les passagers.
Ils étaient quatre personnes. Le premier à embarqué était un gamin de 16 ans, les yeux enragés, le visage pale et les traits crispés. Malgré son jeune âge, on discernait facilement une grosse colère à l’intérieure de lui qui je pense était du à son âge d’adolescent. Puis un jeune couple à pris sa place toute de suite après. Je ne peux pas dire que je sentais l’harmonie entre ces deux là. Ils étaient claires que ça n’allait pas du tout entre eux. Rien qu’a voir les gestes brusques qu’ils s’échangeaient soit disant accidentellement. Et puis les mots venimeuses mais bien enveloppé qu’ils se balançaient de temps en temps.
Et puis à la fin, un vielle homme dans la soixantaine, bien entretenu et ayant un grand sourire sur le visage, a pris lui aussi sa place, et nous avons levée l’ancre.
Le ballon s’est levé lentement dans les airs. Et nous avons engagé le paysage magistieux des montagnes de la Cappadoce. Moi, je m’occupais de diriger le ballon et de gérer le bruleur, alors que les touristes étaient bouche baie et sidérer de voir ce paysage lunaire. Même le couple s’est assagi et un silence magistrale a plané dans la barque.

Mais soudain, les vents ont complètement cessés et le ballon s’est arrêté dans les airs au dessus de l’immense valet. Les touristes ne se sont pas rendu compte de la gravité de la situation. Mais après 5 minutes, le garçon a remarqué que le bruleur a lui aussi rendu l’âme.
La panique s’est installée alors dans la barque, et j’ai du subir une avalanche d’insulte que je n’ai pu qu’accepter. Mais, la situation était très dangereuse. Et puis le gonflable a commencé à perdre de l’altitude petit à petit au dessus des rochers. J’ai alors rassemblé mon courage, et avec mon allemand cassé, j’ai expliqué aux passagers que si nous n’allégerions pas l’embarcation, nous irions alors directement à une mort certaine.

Lorsqu’ils ont entendu ça, ils ont voulu, au debut, me jeté par dessus bord. Et puis, ils ont réalisé que j’étais le seul à pouvoir diriger le ballon, et que la mince lueur d’espoir qu’ils pourraient espérer, dépendrait certainement de ma vie. Tout le monde a commencé alors à se débarrasser de tout ce qu’il peut. Au début, ils ont jeté leurs sac à dos, puis leurs vêtements puis leurs chaussure. Ils m’ont obligé après à jeter le bruleur par dessus bord. Et bien que la descente à ralenti, mais nous n’avons pas encore dépassé le grand ravin.

C’est alors, que le jeune garçon, s’est levé et a dit :
- A 2 ans, j’ai déjà perdu ma mère. Mon père je ne l’ai jamais vu. J’ai vi avec mes grand parents toute ma jeunesse pourri. Je n’ai jamais aimé l’école. Je n’ai jamais aimé réellement mes camarades. La seule fille que j’ai aimé vient de me laisser tomber car elle a rencontré un mec plus âgé et plus futé, ayant une belle voiture et beaucoup d’argent. Ce mec, à tout fait pour me pourrir la vie au sein du lycée et a utilisé ses relations et son pouvoir pour me virer de la bas. Le monde est vraiment pourri. Nous les hommes sommes le cancer de la vie. Si nous sommes dans cette situation c’est surtout à cause de nous humains qui ne pensant qu’a nos petits bien matériaux, en dépits de la nature et de tout le monde. Et puis, merde à tout le monde, merde à dieu et merde à vous vieux cons. Je ne veux pas grandir pour me chamailler avec une femme, ni vieillir pour vouloir montrer tout le temps un semblant de bonheur à tout le monde. Je suis heureux de ne plus vivre avec vous. Passer le salut à mes grands parents et dites leurs que j’ai fais ça pour qu’ils soient, au moins une fois dans leurs vie, fières de moi.
Et puis, il s’est appuyé contre le bord du panier et a sauté dans le vie tout en balançant les bras. C’était très terrifiant que d’entendre un cri jeune, certes, plein de peur, mais rempli de courage aussi, disparaître petit à petit. Jusqu’à ce que le corps a disparu de nos yeux.
La femme a fondu en sanglot. Son mari a viré au mauve. Quand au vieille homme, il a continué de suivre l’endroit ou a tombé le garçon, par son regard.
Malgré la gravité de la situation, ce vieux gardait le regard serin et l’œil vif. Et puis quand il a vu que le ballon continuait sa descente vers la mort, il s’ai mi debout et a dit :
- J’ai connu une vie très mouvementé, pleine de bonheur et de malheur, de succès et d’échecs, de richesse et de pauvreté. J’ai bien roulé ma bosse. Mais, croyez moi malgré toute la vie qui se dégage de moi, je suis mort depuis l’âge de 33 ans. J’ai perdu l’amour de ma vie cette année la dans un accident très bête. Et malgré que je me suis ressaisi après, je ne suis plus redevenu le même. J’ai beau connu d’autre femmes après elle, j’ai beau connu la gloire et l’échec, j’ai beau avoir voyagé un peu partout dans le tout le globe, il n’est jamais passé un jour ou je ne pensais à elle. Dans mes malheurs je me souvenais de son sourire et dans mes bonheurs je regrettais les jours ou elle était avec moi à mes côtés. J’ai passé les trentaines d’années qui ont suivi sa mort à avoir honte de vivre après elle et à souhaiter chaque jour de mourir dans mon sommeil. Tout ce que j’ai fait de bien après sa mort je l’ai fais en parti pour sa mémoire. El les erreurs que j’ai pu commettre ont été essentiellement du à ma lâcheté et à mon égoïsme. Je vais profiter de cette chance qui s’offre à moi, pour faire la dernière bonne action de ma vie. Et puis j’y cours pour la rejoindre. Dite à tout les amis qui vont me pleurer que je les ai aimé avec sincérité. Mais, j’ai pas pu raté cette occasion de rejoindre mon amour.
Il a dit ses dernières phrases d’une voie ému et j’ai pu voire ses yeux qui brillaient les larmes en flottant dans les airs après avoir sauté par dessus bord.
La femme a commencé à hurler comme une folle. Son mari, lui, a fondu en sanglot et s’est cloué au fond du panier. Sa femme s’est assis alors à son tour en face de lui et a mis la tête entre ses bras et a continué de pleurer tout en marmonnant des mots intelligibles.
Puis, j’ai vu le mari qui lève le regarde pour regarder sa femme. Puis, il a levé la bras comme si pour lui toucher les cheveux. Mais il a retiré sa main à mis chemin. Et puis après un long silence au court du quel le ballon a activé la cadence de sa chute, le mari a fixé sa femme des yeux et puis a dit :
- Je pense que j’ai eu beaucoup plus de chance que le gamin, car lui n’a jamais trouvé un sens à sa vie. Alors que moi je t’ai trouvé toi, et tu m’as aimé et tu ne m’as jamais laissé tombé au début de ma carrière professionnel. Je pense aussi que j’ai eu beaucoup plus de chance que le vieux car tu as étais toujours là et tu ne m’a pas quitté quand j’ai commencé à consacrer l’essentielle de mon temps dans le travail et la collecte de l’argent. Aussi, je pense que je ne mérite pas cette chance car je me suis permis malgré tout à te tromper avec des filles qui ne valent même pas un de tes cheveux, sous prétexte que sa m’aide à résister au stress du travail et sou prétexte que tu ne t’occupais plus de moi comme avant. Je dis ça car quand à l’instant, j’ai voulu te touché, j’ai senti combien j’étais impure et sale pour me permettre de souillé ta pureté. Je sais que tu doutais de ce que j’étais entrains de faire derrière ton dos. Et je sais que toi aussi tu as étais tenté de te faire un amant pour compenser le vide que j’ai créé et venger ainsi ton honneur perdu. Mais, je sais aussi que tu ne l’as pas fais car tu attendais d’être sure de ma tromperie avant. Les preuves ne te manquaient pas, mais tu t’es obstiné à me donner chaque jour une dernière chance. Une chance que je n’ai fais que de la rejeter chaque fois ou l’occasion se présente. Je regrette que tu m’as connu car je ne te mérite pas. Je n’ai pas su te traiter. Je n’ai pas su te rendre le bonheur que tu me donnais. Chaque fois ou je me plaignais de ton caractère, j’oubliais que tu étais entrain de me retourner inconsciemment mes agissement et mon comportement avec toi. J’ai souillé notre relation pur avec mon égoïsme. J’ai laissé tomber tout les merveilleux moments que nous avons connu au début de notre relation. Je n’ai pas su garder la flemme de notre amour alors que j’en étais le premier responsable. Je ne t’ai jamais mérité mon amour. Mais je t’ai aimais. Puis j’ai oublié que je t’aimais. Et maintenant je me rend compte que je t’aime plus que tout. Et puis pardonne moi.

Et puis, il s’est mis debout rapidement devant le regard surpris de sa femme, et il s’est jeté dans le vide.

Sa femme a sauté de sa place pour essayer vainement de le retenir. Puis elle m’a jeté un regard terrifiant sans aucune larme dans ses yeux. Et avec une voix sec et ferme elle m’a dit :
- Va au diable fils de pute. Tout ça est de ta faute espèce de con. J’espère que tu ira en enfer.

Puis elle s’est jeté à son tour dans les airs derrière son mari.
Ensuite, je ne sais pas avec quel miracle, j’ai pu regagner le bord du ravin. Je me dois d’assumer la responsabilité de tout ce qui s’est passé. Je n’ai pas cherché à fuir car je pense que j’avais le devoir de rapporter ce que j’ai vu et entendu au bord du dirigeable. Que dieu pardonne l’erreur fatal que j’ai commis en négligeant de vérifier l’état des bouteilles de gaz du bruleur. Je suis obligé de rêver chaque nuit du regard que m’a lancé la femme avant son saut. Que dieu me pardonne.

dimanche 8 juillet 2007

Le Pacte


Les êtres humains aussi odieux et malfaisant soient ils, ne finiront jamais de m’étonner.

Lui, est un jeune homme qui a perdu récemment l’amour de sa vie. Il n’arrive pas à dépasser cet événement. Dans un premier temps, il a essayé de noyer sa douleur dans la bouteille et la débauche. Et, puis il a fait la rencontre de charlatans qui lui ont convaincu que il pourra revoir l’esprit de sa femme, moyennant l’utilisation de la magie noire. Du coup, il a entamé une auto destruction méthodique de son âme et une dilapidation rapide de sa fortune entre les sorciers.

Elle est un esprit errant qui flotte dans une autre dimension, en attendant le jour de jugement dernier. Elle a quitté son corps suite à un accident soudain que douloureux et aussi stupide que dramatique. Comme tout les esprits, elle n’a plus de mémoire et aucun souvenir de l’homme qui l’aimait et qui continue de souffrir après sa mort.

Moi, je suis l’ange de la mort. C’est moi qui a déraciné l’esprit de la femme, et c’est moi qui se sens agacer de voir le jeune homme entrain de courir un but non réalisable et de se faire arnaquer par ses semblables.

C’est pourquoi, j’ai décidé de satisfaire en partie le vœux du jeune homme.

C’est alors que j’ai apparu dans son rêve et je lui ai parlé :
- Toi pauvre jeune homme qui a abandonné la voie de dieux, et court derrière le diable. Toi qui as vendu son âme pour pas chère de tout. Je suis prêt a exhaussé ton veux.
- C’est vrai, merci beaucoup. Quand est ce que je vais la voir ?
- Les esprits sont des être électriques sans matière et sans mémoire. Elle ne pourra pas te souvenir de toi, à moins que tu lui donne un peu de ton corps. Pour cela, tu dois déjà réussir à l’attraper. Est ce que tu accepte ce pacte.
- Oui, j’accepterai tout ce qu’il faut faire pour revivre avec mon amour.
- Je ne suis pas sûre que tu mesure la porté de ta décision, mais, quand tu te réveillera, tu va te retrouver nez à nez avec l’esprit de ta bien aimé. Le transfert commencera dés que tu arrivera à toucher son fantôme. Pour arrêter la processus, il te suffit de crier NON.

Puis je l’ai quitté. Il s’est réveillé, et s’est retrouvé devant le fantôme de son amour. Il n’a pas eu beaucoup de mal à la toucher. C’est alors qu’elle s’est retourné vers lui, et elle l’a fixé de ces grand yeux. Puis s’est jeté dans ces bras. Mais, il a senti une douleur atroce au bout de son bras gauche. Il a alors regardé sa main s’évaporée lentement pour laisser place à une cicatrice béante et hideuse.
Il n’a pas supporté le spectacle. Alors, il a repoussé sa bien aimé et s’est mit à hurler « NOOOOON ».
Il s’est alors retrouvé par terre tout seul, sans main gauche et sans amour. Il a alors fondu en larme.

Je me suis décidé à le suivre de temps en temps, pour voir comment il va reprendre le cours de sa vie.
Je l’ai alors vu au début, qui reprend le court des choses avec assurance, et qui fourni un effort considérable à expliquer à tout le monde qu’il a perdu sa main dans un accident.
J’ai cru alors que s’en est fini avec cette histoire. Mais, j’ai remarqué que cet homme a repris son regard perdu et ses long moment d’égarement. Puis j’ai vu comment il abandonné petit à petit sa vie. Et pour combler tout, il a repris ses pratiques ridicules pour invoquer les démons. J’ai alors compris qu’il cherchait à me revoir une deuxième fois. Je suis alors apparu une deuxième fois dans ses rêves.


- Mais qu’est ce que tu veux alors pauvre mortel. Tu n’as pas eu assez de perdre une main.
- Je me suis dis qu’une bras sans main ne servirait pas à grand chose. C’est pourquoi j’ai décidé de la sacrifier pour une deuxième rencontre avec ma bien aimé.
- Tu aura ce que tu voudra. Mais sache que sa va être la dernière fois que tu me verra. Tu pourra exercer toute les pratiques démoniaques que tu veux après. Mais tu ne pourra jamais me revoir.


Et puis je lui ai renvoyé à nouveau son fantôme. Il s’est alors jeté sur elle. Et ils ont fondu en une grande accolade. Ses armes l’ont certainement aidé à supporter la douleur atroce de la désintégration de son bras. Je l’ai vu qui enlaçait avec force sa bien aimé avec son bras gauche. Et dans un long baisé chaux et humide, il a perdu sa jambe gauche.
Il a continué à s’agrafé à sa bien aimé en tombant. Et bien que le geste manquait horriblement de toute élégance et de toute harmonie, il s’est mis sur le corps de son amour, et a continué à l’embrassé et a lui mordiant les lèvres. Alors, il ne s’est pas rendu compte qu’il perdait ses autres bras et jambes.

Etant démuni de ses membres, j’ai vu qu’il s’est glissé lentement entre les bras de sa bien aimé. J’ai vu le regarde de crainte qu’il lança à la fille. C’était pas le regard de quelqu’un qui se désintégrait. Mais plutôt d’un bébé qu’on séparait de sa maman.
Alors la fille l’a bien tenu et l’a pris contre sa poitrine comme pourrait le faire une maman.

J’ai vu alors le regard du jeune homme qui s’adoucissait. J’ai senti la tranquillité et la sérénité qui le remplissait bien qu’il était entrain de perdre son estomac et ses reins.

Malgré la beauté de ce spectacle horrible, je n’ai pu résisté et je chuchoté dans son esprit qu’il allait se désintégré complètement à se rythme et perdre ainsi la vie et l’après vie. Mais, il n’a pas du tout branché. J’ai vu la pâleur qui gagnait son visage et on pourrai facilement deviner la douleur qu’il était entrain de sentir en perdant le foie et la rate. J’ai vu après l’expression de l’asphyxie qui transformait le jaune en bleu. Mais, il gardait toujours ce regard serin et fixé vers sa douce aimé.

Soudainement j’ai vu que la fille a commencé elle aussi à pleuré.
Moi qui savait plus que tout que les esprits continuaient à ne pas avoir de mémoire pendant ce genre d’ébat, et qu’elle s’intéressait aux corps qui les enlacés comme un fauve qui s’intéresse à sa proie, je n’ai pas compris ce que signifiait cet intérêt pur que manifestait cet esprit sans cœur ni corps à la victime qui est entre ces mains.

J’ai alors vu que les larmes du fantôme, ont commencé à reformer le corps du jeune homme. Il a commencé à reprendre petit à petit ses organes et ses membres, alors que le fantôme lui disparaissait petit à petit. Le jeune homme n’a pas compris ce qui se passait. Il n’a pas aimé l’expression de mort qui se dessinait petit à petit sur les yeux de sa bien aimé à fur et à mesure que lui reprenait sa santé.

Il a beau crié NOOOON, mais rien ne s’est passé et le processus a continué jusqu’à ce que le fantôme de sa bien aimé a disparu complètement devant lui. Il ne lui restait que le regard amer et mélancolique que lui jetai sa bien aimé en se désintégrant à tout jamais devant lui.
Il a commencé à crier et à se cogné la tête un peu partout et à détruire tout ce qui lui tombé entre les mains. Je me suis alors approché de lui et je lui ai dit.

- Dieu a senti la sincérité de tes sentiments, mais aussi la sincérité des sentiments de ta bien aimé. Normalement tu devrais être mort à cet instant alors que l’esprit de ta femme continué à errer dans le cieux. Mais, dieux a décidé autrement. Ta femme a sacrifié son esprit pour que tu reprenne ta vie comme avant. Elle ne sera ni à l’enfer ni au paradis. C’est comme si elle n’a jamais existé. Tout les gens qui l’ont connu vont l’oublier toi y compris. Il n’y aurai aucune trace d’elle ni sur les registres de naissances, ni dans ses livrets scolaires ni même dans ton état civil. Elle s’est complètement évaporé. Elle a fondu dans ton âme à toi. Du coup, tu as gagné tout ce qui es bien en elle, ces qualité et ces dons. Mais tu a récupéré ses défauts aussi. Fait on bon usage car tu as maintenant une double responsabilité. Tu devra rejoindre à nouveau le droit chemin et continuer ta vie comme si rien n’y était. Mais, tu dois faire du bien autour de toi et t’attacher à la voix de dieu. Comme ça tu pourrais espéré revoir ta femme au paradis. Tu as de la chance d’avoir connu un amour si fort et si pur. Cet chance que nous les anges et pleins de mortels n’ont jamais eu ou ne la connaitrons jamais. Profite de ça pour cultivé le bonheur autour de toi. Maintenant ti va dormir. Et quand tu te réveillera tu aura tout oublié. Tout le monde oublierons aussi que tu avais aussi une main en moins un certain moment. Dieu t’a donné une deuxième chance, ne la gâche pas. Si ce n’est pas pour toi, que ça soit pour ta bien aimé.

Et puis, je l’ai renvoyé dans son sommeil.

Pour vu qu’il saura profiter de sa chance. Sa chance n’est pas la vie qu’il a récupéré. Mais plutôt l’amour qu’il a connu.