dimanche 14 octobre 2007

La mort de Devoted Thinker


J’arrête d’écrire dans ce blog !
C’est pas que j’ai vaincu ma tristesse
C’est surtout pas que je peux continuer ma vie comme si rien n’étais.
Mais c’est parce que j’ai la certitude que je ne pourrai pas allez mieux.
Et puis, j’ai pas envie de publier ce que je suis entrains d’écrire actuellement à la mémoire de l’amour de ma vie, car c’est trop personnel.

Je vais, par contre, essayer d’écrire autre choses, mes idées, mes rêves et mon imagination, sur un nouveau blog, avec un nouveau pseudo

Je vous remercie mon cher lecteur pour la patience et le réconfort que vous m’avez si gracieusement donner.

Vous ne pouvez pas imaginer tout le bien que j’ai eu à lire vos commentaires. Rien n’ai plus puissant que la compassion pour arrêter la saignement d’une âme meurtrie.

Permettez moi quand même de vous demander une dernière faveur.
Si jamais tu aime, ou aimerai quelqu’un, ne perd jamais un instant sans lui exprimer tes sentiments. Et n’hésite jamais à donner de toi même pour le prouver.
Car sinon, tu pourrai regretter, un jour, et jusqu’à la mort, de ne pas l’avoir fais suffisamment.

Arigato gozaimas!


Sayonara!

mardi 25 septembre 2007

Enjoy the silence

Words like violence
Break the silence
Come crashing in
Into my little world
Painful to me
Pierce right through me
Can't you understand
Oh my little girl

All I ever wanted
All I ever needed
Is here in my arms
Words are very unnecessary
They can only do harm

Vows are spoken
To be broken
Feelings are intense
Words are trivial
Pleasures remain
So does the pain
Words are meaningless
And forgettable

All I ever wanted
All I ever needed
Is here in my arms
Words are very unnecessary
They can only do harm

Enjoy the silence

dimanche 23 septembre 2007

Rencontre


Ils avancèrent dans la vallée rocheuse et inerte. Ils se tenaient la main. Il n’y avait pas la moindre brise dans l’air. Tout était très calme. Mais cette tranquillité abyssale jouait une mélodie ensorcelante, qui les mettait dans une bulle. Comme si rien n’existait autour d’eux. Ni vie, ni terre et ni matière.
Ils marchaient ainsi dans cette endroit magique, sans le mot, mais avec beaucoup de chaleur.
Ils n’avait pas besoin de parler. Chacun des deux, essayait de profiter au maximum de la sensation que procurait la présence de l’autre.
Les yeux ouvertes, certes, n’avaient pas besoin de voir quoi que se soit. Les oreilles distillaient avec précision, le moindre bruit infinitésimale que faisait le pas ou le souffle de l’autre.
Leurs mains étaient enchevêtrées l’une dans l’autre jusqu’à l’os. Mais, ils n’éprouvaient qu’une douceur agréable.
Chacun était tellement concentrer sur la présence de l’autre, que plus rien d’autre n’avait de l’importance. S’il le pouvaient, ils auraient même pu oublier de respirer.
Ils avançaient lentement, tranquillement dans une démarche ordonné et synchrone. Chacun avait un drôle de rictus sur la bouche, le genre de sourire que l’on peut voire sur le visage d’un bébé affamé quand il rencontre le sein de sa mère, après une longue journée de séparation.
Ila avançaient, un pas derrière l’autre, vers la falaise qui se dressait devant eux.
Puis ils s’arrêtaient au bord du gouffre.
Ils se tournaient l’un vers l’autre. Alors elle lui a dit :
- je ne peux plus rester maintenant.
- Pourquoi ? répond dit-il d’une voix tremblante et serrée.
- Tu savais que j’allais disparaître d’un instant à un autre!
- Oui je savais, mais pourquoi je dois endurer ça tout seul. Cette séparation m’empêche de vivre qu’avec tes souvenirs. Je ne peux plus sourire sans penser au jour ou tout s’est effondré.
- Je sais. Mais il faut que tu continue ta vie, lui répondit elle. Tu dois bien terminer ton chemin, bien que sans moi. Ta destiné est devant toi. Moi je ne suis qu’un passé que tu dois laisser derrière.
- Tu ne peux pas être mon passé, car tu es toujours présente en moi.
- Il faut que tu te libère de cette souffrance qui t’accable. Ma vie ne t’a fait que du bien. Ma mort, aussi dur a accepté soit elle, ne doit pas détruire ton existence
- Je ne peux pas. J’en peux plus! c’est tréééééééés dur. A t’il répondu tout en rabaissant la tête et en fondant en sanglot.
- Je sais. Mais essaye de me joindre au paradis.
- Je ne peux attendre. Je souffre.
- Tu ne dois pas attendre, mais tu dois agir! Sème les grains du bien autour de toi. Garde ton cap vers la satisfaction de dieu. Et donne à ton prochain.
- Et la solitude ?
- Tu n’es jamais seul !

Puis elle s’est tu pendant un instant. Il a commencé à sentir l’imminence de son départ. Il a serré d’avantage ses mains entre les siens, bien que sachant que c’était une vaine tentative.
Elle lui a alors dit, tout t’en scannant chaque recoin de son visage :
- Fais moi une faveur ! De temps en temps, donne de ton argent, aumône à ma mémoire.
Puis elle a ajouté tout en disparaissant :
- Prend soin de toi, et après un bref silence elle ajouta, pour moi !
Il est resté seul et immobile, la tête penchée vers le bas. Ses larmes pleuvaient par terre.
Son doux rêve est entrain de se terminer.

Il alla se réveiller dans un instant.

jeudi 20 septembre 2007

O bon vent du sud,


O bon vent du sud, quand t’es ce que tu va soufflé ?
Pour gonfler les voiles de ma destiné et m’envoyez moi vers le large
Pour chauffer un cœur froid et inerte que plus rien n’intéresse
Pour jouer un nouveau air sur les cordes de ma sensibilité.
Pour chasser les idées noires qui peuplent ma tête
Pour souffler de la vie dans mon âme agonisante
Et pour raviver les flemmes mourante de ma volonté.

Mais jusqu’à maintenant, mon bateau garde toujours le quais
Je fais du sur place.
Et je rumine une existence fade et sans intérêt.

Allez bon vent du sud, pousse moi loin, très loin,
Peu importe la direction, peu importe le sens,
L’essentielle est de quitter cette entonnoir,
Et de vaincre le grand tourbillon ou je tourne.

Souffle, et peu importe combien peut être ta force
Peu importe si je me casse la coque
Ou que je me brise le gouvernail,
Ça sera toujours un pas en avant
Vers l’accomplissement d’une promesse.
Qui ne devrait me guidé que vers la réussite.

samedi 15 septembre 2007

Chanson triste


La musique me fait toujours du bien
Quel que soit le moment
Jour, nuit, l’aube
Quel que soit mon état psychique
Heureux, triste, excité, fatigué, optimiste, mélancolique
Et quel que soit l’endroit ou j’écoute la musique
Ma voiture, mon appart, mon boulot, mes rêves, le café, le super marché

Mais dans tout les musiques que j’écoute
Pop, rock, techno, mezwed, oriental, ambiance
J’entend toujours la meme mélodie qui se faufile entre les notes
Mais qui ne peut m’échapper car je la maitrise très bien

C’est la chanson triste du temps qui passe
De l’effort perdu
Du sort risible
Et de la destinée incertaine

Cette chanson me colle à l’oreille
Mais me fait toujours beaucoup de bien

L'automne




Fini le temps de la chaleur torride
Terminer la période des rires en éclat
Les fêtes endiablées c’est de l’histoire ancienne
La bonne humeur récidivante est partie
Il n’y a plus de jeunesse du corps et de l’âme
Bye bye l’été de ma vie.
Bonjour l’automne,

Que des feuilles mourantes plein les ruelles de ma mémoire
De la pluie tombe de temps en temps quand les nuages de ma tristesse débordent
Parfois mon cœur se réchauffe par une rencontre ou par un événement
Et puis parfois un vent froid calme les ardeurs de mon cœur qui vieilli,
Une vie qui oscille entre la rougeur de ma volonté et la jaunissement de ma jeunesse.

Paradoxalement, mon été est partie en hivers.
Mon automne est venue en été.
Entre les deux, il n’y avait rien !
Absolument rien !

La question à se poser maintenant est, qu’est ce que je peux sauver de ma vie
Avant que vient l’hivers.
J’espère pas en hivers,
bien que dans les coins reculés de ma conscience,
Une neige commence a gagné du territoire

Mais je veux sauver la récolte.
Ou à la limite semer les graines de l’espoir
Pour que lorsque reviendra le printemps un jour
Comme lorsqu’il est venu un jour de printemps!

Une enfance naitra sur les décombres d’un cycle qui se termine.

mardi 4 septembre 2007

L’homme et l’étoile du nord


- Bonjour monsieur, que fais tu? dis l’étoile.
- Je te regarde!
- Qu’attend tu de moi donc?
- Rien !
- Sera tu perdu ? cherche tu le nord ?
- Non ! Mon chemin ne peut être retrouvé, étant coupé à jamais.
- Seras tu un amoureux rêvassant de sa bien aimé sous mon éclat ?
- Non ! je ne peux plus l’être !
- Sera tu un savant curieux de la beauté de la vie.
- Non ! je serai plutôt une personnes pleine de lassitude attendant sa mort.
- Sera tu un travailleur qui se repose dans la brise de la nuit
- Non, je suis plutôt le porteur d’un cœur qui dort..
- Sera tu un aventurier qui traverse le monde
- Non, je serai plutôt un vieillard traversé par le temps.
- Sera tu un poète, Peut être cherche tu ta muse ?
- Non, ma muse est toujours en moi, dans la noirceur de mes entrailles.
- J’en peux plus dis moi qui tu es !
- Je suis un homme qui marche vers rien, qui n’attend pas grand chose, dont la montre s’est arrêtée, et que le futur est connu d’avance. Je cherche à bouger pour vérifier que je ne suis pas encore mort. J’étais par là, comme ça par hasard. Et je t’ai vu. Je me suis rappelé qu’elle t’aimée énormément, et qu’elle te posait plein de question. Mais toi tu ne lui a jamais répondu. Alors, pourquoi me parle tu maintenant, moi qui t’a toujours négligé ?
- Je ne sais pas ? Peut être que j’ai vu le cercle dans le quel tu tourne, et j’ai voulu détourner ton attention du vide qui le rempli.
- Le vide est plutôt en moi. Je ne fais que d’essayer de l’ignorer.
- Sera tu fatigué ?
- Oui, me je ne renoncerai jamais ! C’est ma destinée. Je dois attendre que les aiguilles de ma vie recommenceraient à tourner. Je dois rechercher le repos dans les instants d’oubli. Je dois perdre tout lr sang de mon cœur, pour que je puisse mourir comme tout les immortelles. Pense tu que je gagnerai ?
- Certainement oui ! Mais, lève ton ancre et part. Part loin, vers les oubliettes. Alors tu aimera tes souvenirs, et tu recommencera à vivre.
- J’essaye, j’essaye, j’essaye. Aide moi dieu. Sauve moi dieu.

jeudi 30 août 2007

Que du regret


Je regrette mon incapacité, j’ai pas pu dessiner chaque instant ou je t’ai vu
Je regrette ma stupidité, j’ai pas noté tout les mots que tu m’a dis
Je regrette ma maladresse, j’ai pas pu décrire tout mon amour pour toi
Je regrette mon ignorance, j’ai pas su écrire le bonheur que tu me procurais
Je regrette mon insensibilité, je n’ai pas su être à toujours à côté de toi
Je regrette mon inconscience, je n’ai jamais imaginé ta place dans ma vie
Je regrette ma faiblesse, j’étais incapable de forcer le cours du destin
Je regrette mon incompétence, je ne t’ai pas dis assez combien je t’aime

Je regrette mon existence, que je suis entrain de vivre maintenant sans toi.

lundi 27 août 2007

Une journée d'automne


Deux gamins qui se balancent un ballon dans une ruelle vide et mouillée.
L'automne couvre la place par sa présence lourde et maussade.
Un jeune homme passe à coté, le pas nonchalant et tête dans le col du manteau.
Ses chaussures créaient une bruit mate qui sonne comme une chanson dans ses oreilles.
Le regard perdus, la gorge sèche et les cheveux mal coiffés.
Le ballon bondi contre le mur puis attaque la tête du jeune homme en plein fouet.
De la boue coule le long de son visage en camouflant le rouge sang sur sa joue.
Il tombe comme un cadavre dans une flaque d'eau.
Son crane heurte la terre.
Les deux gamins observent ses paupières fermées et ses vêtements trompés.
Ils sont motus et bouche cousu, paralysés par la peur d'avoir provoqué un accident terrible.
Il ouvre les yeux. Il regarde l'ombre des deux têtes.
Il ferme les paupières. et en toute lassitude se lève comme un zombi.
Il fixe les deux gamins par son regard sombre.
Puis un tout petit rictus se dessine sur son visage.
Il murmure alors "la prochaine fois, utilisez une boule de pétanque, vous ne me ferez que du bien.
Et il se retourne ensuite, pour continuer sa route comme si rien n'était.

On entendait clairement ses pas chantant la mélodie de sa tristesse.

dimanche 19 août 2007

Merci


Hier, je me suis arrêté devant un magasin de bonbon pour acheter de la friandise pour la famille.
Etant en voyage, j'ai toujours eu l'habitude d'en acheter chaque fois ou je m'apprête au retour vers la Tunisie.

C'est alors que mes larmes ont forcé les portes de mon coeur, et ont couler le long de mes joues.

Je me suis souvenu que tu aimais énormément ces bonbons en vrac. Je me suis rappelé surtout combien je passais de temps à te choisir tes bonbon préférés.

Je me suis souvenu surtout combien ce petit effort était bien recommencé quand je voyais tes yeux brillaient en voyant ces sucreries moelleuses.

Malheureusement, Je n'ai plus droit à ce plaisir discret. Mais j'ai appris que pour recevoir il faut donner.


C'est toi qui m'a appri ça. Je l'ai appris en te regardant.

Je te remercie au moins pour ça.

Merci ma belle.

lundi 30 juillet 2007

Délirium


Je dessine le contour de ton sourire

Je sonde la chaleure de ton regard

Je vois le bébé que tu as voulu créer

Je sens l'effet de ta presence sur ton entourage

Je constate la générosité de tes gestes

J'entend ta voix qui chante en moi

Je savoure la bonté de ton âme


Je suis tout simplement entrain de délirer

Car c'est tout ce qui me reste de toi

Les délire d'amour qui se transforme en gesticulations de chagrin


Mais c'est toujours quelques choses,

Au moins j'ai connais ça

et aprés, qui sait?

mercredi 18 juillet 2007

Sweet Dreams (parole de la chanson d'indochine)




Mais quand tu m'attendras
Et comment tu brilleras
Dans quelle vie tu m'attendras
Dans quelle nuit tu brilleras

Il faudrait que je me réveille
Et d'oublier le rêve
Au bord du monde aux bornes du ciel
Arrive un pays aux merveilles

Donne-moi donne-moi
L'autrefois
Donne-moi donne-moi
Autrefois

Mais quand tu m'attendras
Et comment tu brilleras
Dans quelle vie tu m'attendras
Dans quelle nuit tu brilleras

Je préviendrai la terre entière
Que c'est toi qui m'a fait
Tu me donneras encore une fois
La dernière lune de toi

Donne-moi donne-moi
L'autrefois
Appelle-moi appelle-moi
Autrefois

Mais quand tu m'attendras
Et comment tu brilleras
Dans quelle vie tu m'attendras
Dans quelle nuit tu brilleras

Au printemps on verra
Au château l'autre ment
Quelqu'un qui m'attendra
Quelqu'un qui m'aimera

Mais quand tu m'attendras
Et comment tu brilleras
Dans quelle vie tu m'attendras
Dans quelle nuit tu brilleras
Mais dans quelle nuit tu brilleras
Et là, le monde est toi
Et là, je suis pour toi

le tombeau


J'avance dans les tenèbres de mon coeur
Je porte mon tombeau sur le dos
Je m'agripe à une cane pour garder mon équilibre
Tel un vieille homme que la vie n'a pas ménagé
Je le repète chaque instant que ça ira mieux dans un instant
Je fridonne les mots de la chanson de la melancolie
Je m'evapore petit à petit
C'est domage, j'ai voulu que sa soit pour une meilleure cause
Mais la fin du film semble ne pas être heureuse
Quand est ce que vais je tirer ma reverence
J'aime bien voir les voiles tomber devant moi
La vie quelle mauvaise plaisantrie

mardi 17 juillet 2007

La chaine


Un amour profond comme la mer ou nage cet homme
Un homme qui s’ennuie et qui râle comme tout être humain jamais satisfait
La Satisfaction comme ce plaisir que tout le monde court derrière mais que seuls quelques uns y arrivent
On est arrivée à un stade avancé comme la ou les choses ont commencé à concrétiser
La concrétisation du pouvoir de dieu comme chaque fois ou une catastrophe frappe la terre soudainement
Soudain comme la vie qui se transforme en mort
La mort comme une situation qui souffle un silence abyssal
L’abysse comme le gouffre de mon cœur dans le quel je me suis plongé
Un plongeon comme ou l’on saute dans les oubliettes
Oubliette comme la ou sont allé mes espérance de bonheur
Le bonheur comme ce sentiment illusoire et instantané qui n’ai qu’un doux rêve
Le rêve qui s’arrête comme une voiture qui heurte un mur à plein vitesse
Plein vitesse comme les idées noire qui se bouscule dans ma tête
Ma tête comme un chaudron sur le quel glisse des gouttes d’eau
De l’eau comme mes larmes qui ruissellent en creusant ma volonté de vivre
La vie comme une histoire qui s’allonge et devient répétitive et insignifiante
L’insignifiance de tout ce qui matériel comme l’or que l’on donne à un assoiffé dans un désert
Le désert comme le vide qui rempli mon cœur
Mon cœur qui devient comme une vielle bécane qui a besoin d’être poussée
La poussée comme l’espoir qui essaye d’éclaircir la noirceur de la nuit
Mes nuits qui sont belles comme le sourire du poète quand il sombre dans la mélancolie
La mélancolie qui bouffe l’âme mais jamais les souvenirs
Mes souvenirs qui me rappellent comme quand je croyais vivre pour moi même
Moi même qui change d’avis comme le fait les hommes dans la situation de choc
Choc comme ou je n’ai pas pu être malheureux devant les gens malheur qu’après avoir cité dieu
Dieu dont la volonté n’a pas de limite comme cet tristesse qui se transforme en rage et cynisme
Cynisme qui rattrape l’homme quand il vieilli comme rattrape une ombre qui suit sont esclave
Esclave de mes souvenirs comme je ne peux que l’être
Etre ou finir le sombre dilemme difficile comme le choix que je prend chaque instant
Les instants de bonheurs que j’ai connu et qui ne reviendrons jamais plus
Plus comme plus rien à l’intérieur de mon cœur
Le cœur qui ne peut être que l’allié d’une personne comme moi
Moi qui existe pour toi
Toi qui es parti comme si tu n’a jamais existé
L’existence d’une autre vie est impossible comme mourir heureux
Heureux je vais l’être comme l’a ou j’ai naquis
Naissance d’une quête vers l’avant comme une vie qui doit continuer
Continues mais ne jamais oublié l’amour

mardi 10 juillet 2007

La chutte


Le ballon continuait sa chute lentement, et les têtes des rochers ont commencé à montrer leurs têtes stridentes.
Nous étions cinq sur ce dirigeable touristique gonflé à l’air chaud. Nous avons quitté la base touristiques depuis trente minutes pour un petit parcours dans les airs au dessus de la Cappadoce turque. La saison n’est pas connu pour la déferlassions de clientèle étrangère. Mais, j’ai cru que j’avais beaucoup de chance quand un ami a réussi à m’avoir ces quatre touriste allemands que j’ai embarqué dans le silence dans ce périple.

Il faut dire que le temps était très agréable et que il n’y avait pas d’orage dans l’air. C’est pourquoi, je me suis aventuré ce jour ci, et j’ai ramené mon dirigeable à la base de lancement.
Quand j’ai su que le groupe viendrai, j’ai branché la bouteille de gaz, et entamé le gonflage du ballon et le nettoyage du panier qui allait accueillir les passagers.
Ils étaient quatre personnes. Le premier à embarqué était un gamin de 16 ans, les yeux enragés, le visage pale et les traits crispés. Malgré son jeune âge, on discernait facilement une grosse colère à l’intérieure de lui qui je pense était du à son âge d’adolescent. Puis un jeune couple à pris sa place toute de suite après. Je ne peux pas dire que je sentais l’harmonie entre ces deux là. Ils étaient claires que ça n’allait pas du tout entre eux. Rien qu’a voir les gestes brusques qu’ils s’échangeaient soit disant accidentellement. Et puis les mots venimeuses mais bien enveloppé qu’ils se balançaient de temps en temps.
Et puis à la fin, un vielle homme dans la soixantaine, bien entretenu et ayant un grand sourire sur le visage, a pris lui aussi sa place, et nous avons levée l’ancre.
Le ballon s’est levé lentement dans les airs. Et nous avons engagé le paysage magistieux des montagnes de la Cappadoce. Moi, je m’occupais de diriger le ballon et de gérer le bruleur, alors que les touristes étaient bouche baie et sidérer de voir ce paysage lunaire. Même le couple s’est assagi et un silence magistrale a plané dans la barque.

Mais soudain, les vents ont complètement cessés et le ballon s’est arrêté dans les airs au dessus de l’immense valet. Les touristes ne se sont pas rendu compte de la gravité de la situation. Mais après 5 minutes, le garçon a remarqué que le bruleur a lui aussi rendu l’âme.
La panique s’est installée alors dans la barque, et j’ai du subir une avalanche d’insulte que je n’ai pu qu’accepter. Mais, la situation était très dangereuse. Et puis le gonflable a commencé à perdre de l’altitude petit à petit au dessus des rochers. J’ai alors rassemblé mon courage, et avec mon allemand cassé, j’ai expliqué aux passagers que si nous n’allégerions pas l’embarcation, nous irions alors directement à une mort certaine.

Lorsqu’ils ont entendu ça, ils ont voulu, au debut, me jeté par dessus bord. Et puis, ils ont réalisé que j’étais le seul à pouvoir diriger le ballon, et que la mince lueur d’espoir qu’ils pourraient espérer, dépendrait certainement de ma vie. Tout le monde a commencé alors à se débarrasser de tout ce qu’il peut. Au début, ils ont jeté leurs sac à dos, puis leurs vêtements puis leurs chaussure. Ils m’ont obligé après à jeter le bruleur par dessus bord. Et bien que la descente à ralenti, mais nous n’avons pas encore dépassé le grand ravin.

C’est alors, que le jeune garçon, s’est levé et a dit :
- A 2 ans, j’ai déjà perdu ma mère. Mon père je ne l’ai jamais vu. J’ai vi avec mes grand parents toute ma jeunesse pourri. Je n’ai jamais aimé l’école. Je n’ai jamais aimé réellement mes camarades. La seule fille que j’ai aimé vient de me laisser tomber car elle a rencontré un mec plus âgé et plus futé, ayant une belle voiture et beaucoup d’argent. Ce mec, à tout fait pour me pourrir la vie au sein du lycée et a utilisé ses relations et son pouvoir pour me virer de la bas. Le monde est vraiment pourri. Nous les hommes sommes le cancer de la vie. Si nous sommes dans cette situation c’est surtout à cause de nous humains qui ne pensant qu’a nos petits bien matériaux, en dépits de la nature et de tout le monde. Et puis, merde à tout le monde, merde à dieu et merde à vous vieux cons. Je ne veux pas grandir pour me chamailler avec une femme, ni vieillir pour vouloir montrer tout le temps un semblant de bonheur à tout le monde. Je suis heureux de ne plus vivre avec vous. Passer le salut à mes grands parents et dites leurs que j’ai fais ça pour qu’ils soient, au moins une fois dans leurs vie, fières de moi.
Et puis, il s’est appuyé contre le bord du panier et a sauté dans le vie tout en balançant les bras. C’était très terrifiant que d’entendre un cri jeune, certes, plein de peur, mais rempli de courage aussi, disparaître petit à petit. Jusqu’à ce que le corps a disparu de nos yeux.
La femme a fondu en sanglot. Son mari a viré au mauve. Quand au vieille homme, il a continué de suivre l’endroit ou a tombé le garçon, par son regard.
Malgré la gravité de la situation, ce vieux gardait le regard serin et l’œil vif. Et puis quand il a vu que le ballon continuait sa descente vers la mort, il s’ai mi debout et a dit :
- J’ai connu une vie très mouvementé, pleine de bonheur et de malheur, de succès et d’échecs, de richesse et de pauvreté. J’ai bien roulé ma bosse. Mais, croyez moi malgré toute la vie qui se dégage de moi, je suis mort depuis l’âge de 33 ans. J’ai perdu l’amour de ma vie cette année la dans un accident très bête. Et malgré que je me suis ressaisi après, je ne suis plus redevenu le même. J’ai beau connu d’autre femmes après elle, j’ai beau connu la gloire et l’échec, j’ai beau avoir voyagé un peu partout dans le tout le globe, il n’est jamais passé un jour ou je ne pensais à elle. Dans mes malheurs je me souvenais de son sourire et dans mes bonheurs je regrettais les jours ou elle était avec moi à mes côtés. J’ai passé les trentaines d’années qui ont suivi sa mort à avoir honte de vivre après elle et à souhaiter chaque jour de mourir dans mon sommeil. Tout ce que j’ai fait de bien après sa mort je l’ai fais en parti pour sa mémoire. El les erreurs que j’ai pu commettre ont été essentiellement du à ma lâcheté et à mon égoïsme. Je vais profiter de cette chance qui s’offre à moi, pour faire la dernière bonne action de ma vie. Et puis j’y cours pour la rejoindre. Dite à tout les amis qui vont me pleurer que je les ai aimé avec sincérité. Mais, j’ai pas pu raté cette occasion de rejoindre mon amour.
Il a dit ses dernières phrases d’une voie ému et j’ai pu voire ses yeux qui brillaient les larmes en flottant dans les airs après avoir sauté par dessus bord.
La femme a commencé à hurler comme une folle. Son mari, lui, a fondu en sanglot et s’est cloué au fond du panier. Sa femme s’est assis alors à son tour en face de lui et a mis la tête entre ses bras et a continué de pleurer tout en marmonnant des mots intelligibles.
Puis, j’ai vu le mari qui lève le regarde pour regarder sa femme. Puis, il a levé la bras comme si pour lui toucher les cheveux. Mais il a retiré sa main à mis chemin. Et puis après un long silence au court du quel le ballon a activé la cadence de sa chute, le mari a fixé sa femme des yeux et puis a dit :
- Je pense que j’ai eu beaucoup plus de chance que le gamin, car lui n’a jamais trouvé un sens à sa vie. Alors que moi je t’ai trouvé toi, et tu m’as aimé et tu ne m’as jamais laissé tombé au début de ma carrière professionnel. Je pense aussi que j’ai eu beaucoup plus de chance que le vieux car tu as étais toujours là et tu ne m’a pas quitté quand j’ai commencé à consacrer l’essentielle de mon temps dans le travail et la collecte de l’argent. Aussi, je pense que je ne mérite pas cette chance car je me suis permis malgré tout à te tromper avec des filles qui ne valent même pas un de tes cheveux, sous prétexte que sa m’aide à résister au stress du travail et sou prétexte que tu ne t’occupais plus de moi comme avant. Je dis ça car quand à l’instant, j’ai voulu te touché, j’ai senti combien j’étais impure et sale pour me permettre de souillé ta pureté. Je sais que tu doutais de ce que j’étais entrains de faire derrière ton dos. Et je sais que toi aussi tu as étais tenté de te faire un amant pour compenser le vide que j’ai créé et venger ainsi ton honneur perdu. Mais, je sais aussi que tu ne l’as pas fais car tu attendais d’être sure de ma tromperie avant. Les preuves ne te manquaient pas, mais tu t’es obstiné à me donner chaque jour une dernière chance. Une chance que je n’ai fais que de la rejeter chaque fois ou l’occasion se présente. Je regrette que tu m’as connu car je ne te mérite pas. Je n’ai pas su te traiter. Je n’ai pas su te rendre le bonheur que tu me donnais. Chaque fois ou je me plaignais de ton caractère, j’oubliais que tu étais entrain de me retourner inconsciemment mes agissement et mon comportement avec toi. J’ai souillé notre relation pur avec mon égoïsme. J’ai laissé tomber tout les merveilleux moments que nous avons connu au début de notre relation. Je n’ai pas su garder la flemme de notre amour alors que j’en étais le premier responsable. Je ne t’ai jamais mérité mon amour. Mais je t’ai aimais. Puis j’ai oublié que je t’aimais. Et maintenant je me rend compte que je t’aime plus que tout. Et puis pardonne moi.

Et puis, il s’est mis debout rapidement devant le regard surpris de sa femme, et il s’est jeté dans le vide.

Sa femme a sauté de sa place pour essayer vainement de le retenir. Puis elle m’a jeté un regard terrifiant sans aucune larme dans ses yeux. Et avec une voix sec et ferme elle m’a dit :
- Va au diable fils de pute. Tout ça est de ta faute espèce de con. J’espère que tu ira en enfer.

Puis elle s’est jeté à son tour dans les airs derrière son mari.
Ensuite, je ne sais pas avec quel miracle, j’ai pu regagner le bord du ravin. Je me dois d’assumer la responsabilité de tout ce qui s’est passé. Je n’ai pas cherché à fuir car je pense que j’avais le devoir de rapporter ce que j’ai vu et entendu au bord du dirigeable. Que dieu pardonne l’erreur fatal que j’ai commis en négligeant de vérifier l’état des bouteilles de gaz du bruleur. Je suis obligé de rêver chaque nuit du regard que m’a lancé la femme avant son saut. Que dieu me pardonne.

dimanche 8 juillet 2007

Le Pacte


Les êtres humains aussi odieux et malfaisant soient ils, ne finiront jamais de m’étonner.

Lui, est un jeune homme qui a perdu récemment l’amour de sa vie. Il n’arrive pas à dépasser cet événement. Dans un premier temps, il a essayé de noyer sa douleur dans la bouteille et la débauche. Et, puis il a fait la rencontre de charlatans qui lui ont convaincu que il pourra revoir l’esprit de sa femme, moyennant l’utilisation de la magie noire. Du coup, il a entamé une auto destruction méthodique de son âme et une dilapidation rapide de sa fortune entre les sorciers.

Elle est un esprit errant qui flotte dans une autre dimension, en attendant le jour de jugement dernier. Elle a quitté son corps suite à un accident soudain que douloureux et aussi stupide que dramatique. Comme tout les esprits, elle n’a plus de mémoire et aucun souvenir de l’homme qui l’aimait et qui continue de souffrir après sa mort.

Moi, je suis l’ange de la mort. C’est moi qui a déraciné l’esprit de la femme, et c’est moi qui se sens agacer de voir le jeune homme entrain de courir un but non réalisable et de se faire arnaquer par ses semblables.

C’est pourquoi, j’ai décidé de satisfaire en partie le vœux du jeune homme.

C’est alors que j’ai apparu dans son rêve et je lui ai parlé :
- Toi pauvre jeune homme qui a abandonné la voie de dieux, et court derrière le diable. Toi qui as vendu son âme pour pas chère de tout. Je suis prêt a exhaussé ton veux.
- C’est vrai, merci beaucoup. Quand est ce que je vais la voir ?
- Les esprits sont des être électriques sans matière et sans mémoire. Elle ne pourra pas te souvenir de toi, à moins que tu lui donne un peu de ton corps. Pour cela, tu dois déjà réussir à l’attraper. Est ce que tu accepte ce pacte.
- Oui, j’accepterai tout ce qu’il faut faire pour revivre avec mon amour.
- Je ne suis pas sûre que tu mesure la porté de ta décision, mais, quand tu te réveillera, tu va te retrouver nez à nez avec l’esprit de ta bien aimé. Le transfert commencera dés que tu arrivera à toucher son fantôme. Pour arrêter la processus, il te suffit de crier NON.

Puis je l’ai quitté. Il s’est réveillé, et s’est retrouvé devant le fantôme de son amour. Il n’a pas eu beaucoup de mal à la toucher. C’est alors qu’elle s’est retourné vers lui, et elle l’a fixé de ces grand yeux. Puis s’est jeté dans ces bras. Mais, il a senti une douleur atroce au bout de son bras gauche. Il a alors regardé sa main s’évaporée lentement pour laisser place à une cicatrice béante et hideuse.
Il n’a pas supporté le spectacle. Alors, il a repoussé sa bien aimé et s’est mit à hurler « NOOOOON ».
Il s’est alors retrouvé par terre tout seul, sans main gauche et sans amour. Il a alors fondu en larme.

Je me suis décidé à le suivre de temps en temps, pour voir comment il va reprendre le cours de sa vie.
Je l’ai alors vu au début, qui reprend le court des choses avec assurance, et qui fourni un effort considérable à expliquer à tout le monde qu’il a perdu sa main dans un accident.
J’ai cru alors que s’en est fini avec cette histoire. Mais, j’ai remarqué que cet homme a repris son regard perdu et ses long moment d’égarement. Puis j’ai vu comment il abandonné petit à petit sa vie. Et pour combler tout, il a repris ses pratiques ridicules pour invoquer les démons. J’ai alors compris qu’il cherchait à me revoir une deuxième fois. Je suis alors apparu une deuxième fois dans ses rêves.


- Mais qu’est ce que tu veux alors pauvre mortel. Tu n’as pas eu assez de perdre une main.
- Je me suis dis qu’une bras sans main ne servirait pas à grand chose. C’est pourquoi j’ai décidé de la sacrifier pour une deuxième rencontre avec ma bien aimé.
- Tu aura ce que tu voudra. Mais sache que sa va être la dernière fois que tu me verra. Tu pourra exercer toute les pratiques démoniaques que tu veux après. Mais tu ne pourra jamais me revoir.


Et puis je lui ai renvoyé à nouveau son fantôme. Il s’est alors jeté sur elle. Et ils ont fondu en une grande accolade. Ses armes l’ont certainement aidé à supporter la douleur atroce de la désintégration de son bras. Je l’ai vu qui enlaçait avec force sa bien aimé avec son bras gauche. Et dans un long baisé chaux et humide, il a perdu sa jambe gauche.
Il a continué à s’agrafé à sa bien aimé en tombant. Et bien que le geste manquait horriblement de toute élégance et de toute harmonie, il s’est mis sur le corps de son amour, et a continué à l’embrassé et a lui mordiant les lèvres. Alors, il ne s’est pas rendu compte qu’il perdait ses autres bras et jambes.

Etant démuni de ses membres, j’ai vu qu’il s’est glissé lentement entre les bras de sa bien aimé. J’ai vu le regarde de crainte qu’il lança à la fille. C’était pas le regard de quelqu’un qui se désintégrait. Mais plutôt d’un bébé qu’on séparait de sa maman.
Alors la fille l’a bien tenu et l’a pris contre sa poitrine comme pourrait le faire une maman.

J’ai vu alors le regard du jeune homme qui s’adoucissait. J’ai senti la tranquillité et la sérénité qui le remplissait bien qu’il était entrain de perdre son estomac et ses reins.

Malgré la beauté de ce spectacle horrible, je n’ai pu résisté et je chuchoté dans son esprit qu’il allait se désintégré complètement à se rythme et perdre ainsi la vie et l’après vie. Mais, il n’a pas du tout branché. J’ai vu la pâleur qui gagnait son visage et on pourrai facilement deviner la douleur qu’il était entrain de sentir en perdant le foie et la rate. J’ai vu après l’expression de l’asphyxie qui transformait le jaune en bleu. Mais, il gardait toujours ce regard serin et fixé vers sa douce aimé.

Soudainement j’ai vu que la fille a commencé elle aussi à pleuré.
Moi qui savait plus que tout que les esprits continuaient à ne pas avoir de mémoire pendant ce genre d’ébat, et qu’elle s’intéressait aux corps qui les enlacés comme un fauve qui s’intéresse à sa proie, je n’ai pas compris ce que signifiait cet intérêt pur que manifestait cet esprit sans cœur ni corps à la victime qui est entre ces mains.

J’ai alors vu que les larmes du fantôme, ont commencé à reformer le corps du jeune homme. Il a commencé à reprendre petit à petit ses organes et ses membres, alors que le fantôme lui disparaissait petit à petit. Le jeune homme n’a pas compris ce qui se passait. Il n’a pas aimé l’expression de mort qui se dessinait petit à petit sur les yeux de sa bien aimé à fur et à mesure que lui reprenait sa santé.

Il a beau crié NOOOON, mais rien ne s’est passé et le processus a continué jusqu’à ce que le fantôme de sa bien aimé a disparu complètement devant lui. Il ne lui restait que le regard amer et mélancolique que lui jetai sa bien aimé en se désintégrant à tout jamais devant lui.
Il a commencé à crier et à se cogné la tête un peu partout et à détruire tout ce qui lui tombé entre les mains. Je me suis alors approché de lui et je lui ai dit.

- Dieu a senti la sincérité de tes sentiments, mais aussi la sincérité des sentiments de ta bien aimé. Normalement tu devrais être mort à cet instant alors que l’esprit de ta femme continué à errer dans le cieux. Mais, dieux a décidé autrement. Ta femme a sacrifié son esprit pour que tu reprenne ta vie comme avant. Elle ne sera ni à l’enfer ni au paradis. C’est comme si elle n’a jamais existé. Tout les gens qui l’ont connu vont l’oublier toi y compris. Il n’y aurai aucune trace d’elle ni sur les registres de naissances, ni dans ses livrets scolaires ni même dans ton état civil. Elle s’est complètement évaporé. Elle a fondu dans ton âme à toi. Du coup, tu as gagné tout ce qui es bien en elle, ces qualité et ces dons. Mais tu a récupéré ses défauts aussi. Fait on bon usage car tu as maintenant une double responsabilité. Tu devra rejoindre à nouveau le droit chemin et continuer ta vie comme si rien n’y était. Mais, tu dois faire du bien autour de toi et t’attacher à la voix de dieu. Comme ça tu pourrais espéré revoir ta femme au paradis. Tu as de la chance d’avoir connu un amour si fort et si pur. Cet chance que nous les anges et pleins de mortels n’ont jamais eu ou ne la connaitrons jamais. Profite de ça pour cultivé le bonheur autour de toi. Maintenant ti va dormir. Et quand tu te réveillera tu aura tout oublié. Tout le monde oublierons aussi que tu avais aussi une main en moins un certain moment. Dieu t’a donné une deuxième chance, ne la gâche pas. Si ce n’est pas pour toi, que ça soit pour ta bien aimé.

Et puis, je l’ai renvoyé dans son sommeil.

Pour vu qu’il saura profiter de sa chance. Sa chance n’est pas la vie qu’il a récupéré. Mais plutôt l’amour qu’il a connu.

lundi 28 mai 2007

Reste avec moi


Il fait nuit. Il pleut des cordes. La route est sombre. Le chemin est long. Je fonce à vive allure à travers les flots. Je suis fatigué. J’en ai marre. Mes paupière s’alourdissent. Mes idées sont brouillées. Mes yeux me font mal. Les phares des voitures accentuent mon état léthargique. Je perd la notion du temps. Je ne sais même plus ou est ce que je suis, ni qu’est ce que je suis entrain de faire. Un grand vacarme puis un bruit de choc. J’observe mes bras et mes jambes qui vacille devant moi. Je me trouve entrain de flotter dans cette petit espace de ma voiture. Je regarde le volant qui s’approche dangereusement de mon visage. Je ferme les yeux. Le grand silence.

Je suis dans un forêt sans fin. Que des arbres à porté de vue. L’atmosphère sent l’odeur des feuilles mortes de l’automne. Je l’aperçois. Elle est habillé en blanc. Une longue robe de marié. Elle me souri. J’avance d’un pas vers elle. Elle rit. Elle court. Je la poursuit. Elle court très vite. Elle feinte les arbres. Je les heurte. Je me blesse. Je saigne. Mais, je poursuit. Elle s’arrête. Elle me fixe les yeux avec son sourire angélique. Un sourire qui balaye le fond de moi même. Mes larmes coulent sur mes joues. J’avance lentement vers elle. Je tend la main pour la toucher. Soudain la terre s’évapore au dessous de mes pattes. Je tombe. Je cris.

J’ouvre les yeux. Je suis dans un champs de bataille. Les balles sifflent au dessus de ma tête. Je lui tient la main. Nous courrons dans cette terre boueuse. Sa main est belle et très tendre. Des sentiments de peur et de quiétude se malaxe au fond de moi. Nous enjambons les cadavres et les ruines qui jonche notre parcours. Je lui demande de garder la tête rabaissé. Elle me regarde. J’aime ces yeux.. Un sentiment irréaliste rempli mon esprit. J’ai honte d’être aussi heureux dans ces moments de terrible K.O. Soudain, des balles déchiquètent mon dos. Leur impacte me fait perdre l’équilibre. Je lâche sa main. Je lui cris de courir et de ne pas faire attention à moi. Elle me regarde. Elle me tourne le dos. Elle avance quelque pas puis saute sur une mine. Je vois son corps qui s’élève dans les airs. Je cris comme un forcené.

Je suis accrocher à un rocher. Le mousqueton qui tient la corde de ma vie risque de se détacher d’un instant à l’autre. Elle est accroché à moi. Il fait froid. Un vent de démons bousculait nos corps et les balançaient dangereusement au dessus du néant. Je m’arrange aussi mal soit il, pour lui préparer un mousqueton pour elle. Au pire, elle sera sauvé si jamais le mien cède. J’accroche une corde à ce piquet et je lui demande de ce hisser pour s’y attacher. Elle refuse. Je lui cris dessus. Je lui dis que c’est pour son bien. Elle me dit qu’elle veut être avec moi. Je lui dis que je ne vais pas l’abandonné et que c’est seulement pendant quelsque court instant, le temps que je me prépare un mousqueton plus solide pour ma corde. Elle accepte. Elle change de corde. Je lâche sa main. Je grimpe un petit peu. J’entend un grand cri. Je regarde en bas. Je vois ces yeux qui s’éloigne. Sa corde a claqué. Je hurle.

Je coule dans l’eau. Je me sens en apesanteur. Je me sens bien. Je plonge lentement dans cette abysse sombre et froide. Je souri. Je suis calme. Il fait un silence absolu. Soudain, je la vois qui viens vers moi. Elle enlace mon corps et fait tourner mon corps comme une sirène. Elle est très belle. Elle est très rayonnante. Elle bouge ces lèvres pour me dire quelque chose. Je ne l’entend pas. Elle tient ma main. Nos doigts s’enlacent. Elle me tire vers le haut. C’est comme si elle veut me porter vers la surface. Je m’agrippe à sa main. Elle me contemple avec ces yeux rassurantes. Je fond en sanglot. Je sens une chaleur qui monte en moi. Je sens la vie qui reprenne dans mon cœur. Je lui dit, « pourquoi tu es parti ? », « Pourquoi tu m’a laissé tombé ? », « J’ai trés mal sans toi. La vie n’a aucun goût sans toi. J’ai souffert d’une solitude que rongé mon âmes comme un cancer». Elle me sourit. M’entend elle? Elle bouge ces lèvres. Mais je ne l’entend pas. Elle s’arrête. Elle m’embrasse. Je m’agrippe à elle comme un bébé à sa mère. Mais elle se détache. Je me sens emporter vers la haut, alors que elle reste la ou elle est. Je sens qu’elle va me quitter. Je lui cris. RESTE AVEC MOI. RESTE AVEC MOI. RESTE AVEC MOI. Et la j’entend sa voix dans ma tête me disant : « je suis avec toi tans que tu es vivant car je vie au fond de ton cœur ». Alors je lui ai crié. « MAIS JE SOUFFRE, JE ME DECHIRRE DE L’INTERIEUR ». Alors elle m’a dit « Je sais, et c’est sa l’essence de mon existance maintenant ». Puis elle a lâché ma main. Et je me suis trouvé entrain de s’éloigner lentement d’elle. J’ai beau crié. J’ai beau hurlé. Mais, en vain. Soudain une grand lumière m’entoura. J’ai fermé alors les yeux.

J’ouvre les yeux. Je suis dans un lit d’hôpital. Je vois ma mère, ma famille et mes amis autour de moi. J’ai du mal à bouger mais je sens que je ne suis pas mort. Des larmes chaudes coulent alors de mes yeux.

Je continuerai à vivre avec ça !

dimanche 29 avril 2007

On the road again


Nous étions deux, la vie était belle

Nous étions fort, joyeux et drôles

Mais maintenant, je continue seul


On the road again, again

On the road again, again


Quand je t’ai rencontré, le ciel était gris

Et quand tu es morte, il faisait aussi gris,

Le temps s’est t’arrêté depuis,


On the road again, again

On the road again, again


Nous avions la vie pour nous, plein de vœux

Notre amour était pur, simple, jamais vieux

Aujourd’hui je porte le poids pour nous deux


On the road again, again

On the road again, again


Mon amour au merveilleux sourire
Reste avec moi, oui je veux souffrir
Que ton fantôme, dans mon cœur puisse vivre


On the road again, again

On the road again, again


Fatigué le cœur tremblant, je poursuit
Je dois reprendre mon chemin dans la vie
Et je regarde le ciel et puis je souri


On the road again, again

On the road again, again

On the road again, again

On the road again, again

On the road again

samedi 21 avril 2007

Même si je continue


Je reprend ma vie
J’avance au rythme de la musique country
Ou les dernières chansons de Bryan Ferry
Je marche cool, et je souri
Je ne m’énerve plus et je recherche la camaraderie
Je reviens à nouveau vers ma famille
Mon ciel n’ai plus aussi gris
Je n’ai plus le blues, j’ai repris mes esprits

Mais quand je vois un vieux couple d’amoureux, je deviens ému
Et je ne peux retenir et je cris
Dommage que de ma vie tu es parti
Beautiful girl, j’aurai aimé that you stay with me
Je regrette que ça ne sera pas avec toi que je vieilli
Mais tu es toujours en ma compagnie
Et derrière mon visage qui ritOn décèlera facilement un cœur meurtrie.

mercredi 18 avril 2007

Ma vie


J’y suis
Assis
Je me lève
Je marche
Lentement
Mais surement,
L’enfance
Le jardin d’enfant
Les amis
Le jeu
L’insouciance
L’école
Elève brillant
Mes pas s’activent
Bonne note
Les amis
Encore et encore
Le lycée
L’éveil
Je sens le monde
Je me sens
L’attirance vers l’autre
Les filles
Les femmes
Je change
Je cours
La révolte
Changer ma vie
Changer moi même
Vers le meilleur ?
Ou vers le pire
Le bac
La fac
Les amis
Beaucoup d’amis
La cigarette
L’alcool
La bringue
Les fêtes
Marginale
Mais les pieds sur terre
Premier amour
Illusion d’amour
Deuxième amour
Illusion d’amour
L’amour facile
L’égoïsme
Le sexe
Qu’il est bon le sexe
Je m’aime moi même
Je suis le plus fort
Le succès
Le boulot
Premier échec
Je cours encoure
Rien ne m’arrête
Succès
Les collègues
Les arrivistes
La trahison
La désillusion
J’esquive
Renaitre de ses cendres
Je cours
Mais je ralentie la cadence
Qu’est ce que je fais ici ?
L’amour
Le grand amour
Le temps s’arrête
Puis, je vole
Haut très haut
Les amis s’effritent
Mais je vole et je plane
Ah l’amour
La rédemption
Un sens à ma vie
Je veux et je fais
Je guette le succès
Je me sens appuyer
Rien ne me vaincra
L’amour,
Je t'aime

La chance
Le travail
Le succès
L’engagement
L’amour
L’accident
La mort
Plus d’amour
Je tombe
Je tombe
Je tombe
Je suis par terre
Immobile
Je suis mort
Je m’enfiche
Les amis
La famille
Dieu
Dieu
Le destin
La destiné
Vouloir repartir
Le chagrin
La mélancolie
J’écrit
Je décharge
J’accepte
Je résiste
Je bouge
Je me lève
Je marche lentement
Mais pas surement
Cours
Cours
Je veux courir
Je vais courir
Pour ta mémoire


Jusqu’à toujours.

Le paradis derrière le mur


Nous sommes en 3007. La vie a énormément changé. Les riches ont continué à s’enrichir et les pauvres bien sure à s’appauvrir.
Seulement, la robotique a évolué. Les riches n’ont plus besoin de main d’œuvre pour la basse besogne et pour le travail dans les services.
Les robots sont devenue très performant et ont fini par remplace l’être humain dans toute les activités manuelles.
Du coup, le taux de chômage et de banditisme a explosé. C’est pourquoi, les riches, ayant le pouvoir absolu, ont décidé de chasser tout les pauvres en dehors de la ville.
En à peine 1 mois, les pauvres ont été entassés sous les coups des matraques électrique dans des gros camions puis ont été jetés loin dans le désert.
Les riches ont tout suite après fait construire un barrage tout autour de la ville, qu’ils ont équipé d’armement robotisé et très perfectionné. Il suffit d’approcher le mur haut d’à peine 3 mètre pour se faire déchiqueter par les balles des cannons automatiques.
Beaucoup de pauvre ont alors essayé de retourner à la ville et de franchir le mur, mais sans succès. Les cadavres et les ossements humains ont commencé à s’entasser petit à petit tout autours de la ville sous le soleil de plomb, offrant un spectacle macabre qui suffit à détruire la volonté des plus audacieux.
Petit à petit, les pauvres se sont résignés à leur sort. Les tentative de franchissement ont alors pratiquement cessé. Sauf qu’il y a encore moi.

Mon nom est Michou. Je suis une tête brulé qui a eu marre d la vie de misère et qui veut gouter aux délices de la vie facile à l’intérieur de la ville.
N’étant pas bête, j’ai construit ma cabane prés du mur, et me suis réduit à vivre tout en observant le barrage et en étudiant ses défenses automatisées.
Durant les six mois, j’ai eu la chance d’observer quelques tentatives de franchissement avortés. J’ai même envoyé des chiens à se faire cribler de balle rien que pour pouvoir chercher la faille.
Et je l’ai trouvé la fameuse faille.

Les armes robotisés fonctionnaient à la détection de la chaleur des êtres humains et ainsi que du mouvement. Ces derniers faisant un mouvements de traçage rotative et synchronisé, laissaient un petit chemin dans lequel la sécurité est moins abondante que d’autres endroits.
J’avais pas droit à l’erreur. Du coup, j’ai passé 6 autres mois à mettre au point mon stratagème.

Sauf que j’ai tombé malade.
Dans ce désert aride prêt du barrage de la mort, il n’y avait que moi et mes deux petites chèvres. Comme la fièvre était très forte, je n’étais plus capable de me nourrir, ni à aller chercher l’eau dans le village voisin.
Le fantôme de la mort a commencé à roder autours de moi. Je me suis alors résigné à mon sort. Et faible comme j’étais, je commencé m’abandonné petit à petit.

Mais un jour, un visiteur a franchi la porte de ma cabane. C’était une fille qui a été certainement par les chèvres, et qui a approché l’endroit pour essayer de voler quelques provisions.
Mais lorsqu’elle a vu ma souffrance, elle a eu pitié de moi. C’est pourquoi, elle n’a pas hésité à me préparer à manger et à boire. Elle a décidé de rester à côté de moi, jusqu’à mon rétablissement.
Je ne sais pas si c’est parce qu’elle a perdu toute sa famille ou parce qu’elle était attiré envers moi, mais elle a pris un grand soin de moi, et elle s’est consacré à ma guérison.
Elle a nettoyé la cabane, fait traire les chèvres, réparé les fenêtres pour rafraichir l’endroit. Elle a aussi consacré trois jours entier a ramené de l’eau du village. Quel fut ma surprise lorsqu’elle m’a fait coulé un bain au quelle je n’ai pas gouté depuis une année entière.
Je me suis senti enfant dans ces bras et j’ai aimé sa présence à côté de moi. Ceci m’a aidé à m’en sortir de la maladie. Ainsi après troid mois de combat avec la fièvre, j’ai me suis complètement rétablit. Entre temps, nous nous sommes tellement pris l’un de l’autre que nous nous sommes mariées.

Seulement, cette vie de misère ne pouvait pas être à mon goût. C’est pourquoi, j’ai repris la préparation de mon plan d’intrusion.
Ma femme a essayé vainement de m’en dissuader. Elle craignait que mon plan ne marche pas et que je perd la vie. Elle craignait surtout de devoir continuer sa vie sans moi. C’est pourquoi elle a voulu m’accompagner, chose que j’ai complètement refusé.

J’ai vu en elle un boulet qui ne ferait que réduire mes chances de succès, vu qu’elle n’avait pas mon agilité. Je lui ai toujours répété que si jamais elle foirait lors de l’infiltration, je n’hésiterais pas à la laisser derrière à son propre sort. Ces paroles lui ont toujours fait pleurer. Mais, moi j’étais complètement insensible à ces larmes. Je lui ai toujours dit que même si c’est moi qui perd la vie en franchissant le barrage, elle devra continuer sans moi, car de toute façon c’est ce que je ferai moi.

Mais, elle a réussi rapidement à me faire changer d’avis. A force d’entrainement elle a même réussi à surpasser mes performances.

Nous étions fin prêt pour le grand jour. Notre plan était très simple. Il fallait tromper les détecteurs de chaleur et éviter les détecteurs de mouvement.
C’est pourquoi, nous nous devrions de couvrir le visage et tout le corps par une épaisse combinaison de laine de verre. Nous devons aussi respirer à travers un tube en plastique qui passe à travers un espèce de narguilé afin de refroidir notre souffle et éviter ainsi que les détecteur de chaleur ne le détecte lors de notre passage. Cette combinaison était très lourde et très contraignante car nous devrions courir, avec, à travers les fils barbelés. Nous devrons aussi rester immobiles dans certain endroit pendant des longues minutes afin d’attendre que les détecteur de mouvement changent d’orientation. Et nous devrions à la fin escalader le mur avec.

Nous avons choisi une journée ou il faisait une température d’enfer, afin d’augmenter l’efficacité de notre combinaison. Et nous avons entamé notre périple.
Heureusement, tout s’est très bien passé. Nous avons réussi à éviter tout les pièges. Mais nous avons pris beaucoup de temps à atteindre le mur.
Nous avons suffoqué sous la combinaisons. Et c’est avec un miracle que j’ai réussi à escalader le mur et j’ai tendu la main à ma femme pour l’aider à me rejoindre.
Mais elle n’en pouvait plus. Elle n’avait plus la force de résister à son fourneau. C’est pourquoi, alors qu’elle se débattait pour atteindre ma main, elle a laissé tombé son tube de respiration.

Il y eu deux coup de feu. La première balle l’a atteint dans le dos et la deuxième en plein tête.
Je l’ai vu alors glisser en bas du mur, inerte, sans un mot et sans un regard.
J’ai resté à la contempler ainsi pendant des heures du haut du mur. J’étais comme médusé et parfaitement immobile. Mais à la fin je me suis repris un petit peu mes esprits et j’ai sauté de l’autre côté. Seulement mes yeux ont resté grand ouvert et écarquillés.

J’ai abandonné ma combinaison puis j’ai continué mon chemin vers la ville.

La cité devrait être très belle. Il y avait plein de jardin, plein d’arbre et plein de fruit. Il y avait aussi plein de source d’eau. Mais je n’ai rien bu et rien mangé.
Il y avait aussi des grands statues, des immeubles immenses, des innombrables vitrines. Mais je n’ai rien vu.

J’ai resté à roder par ci et par la pendant toute la journée.
La nuit tombé, j’ai retourné vers le mur. Je l’ai escaladé par ou je suis venu. J'ai ensuite sauté à côté du cadavre de ma femme, que j’ai enlacé. Et j’ai resté à attendre la balle qui va me ramener à côté d’elle. / .

lundi 16 avril 2007

Toi!


Je suis mort aprés toi..............................Je vis pour toi

Je pleure devant ton image....................Je ris avec ton image

Je flechi devant ta tombe.......................Je repart de plus belle de ta tombe

Quand je pense à toi j'ai mal...................Quand je pense de toi, je deviens plus fort que le mal.

Mes yeux sont sombres aprés toi......... Mon coeur est pur grace à toi

Je suis detruit depuis ce jour................. Je suis indestructible à partir de ce jour

Ma vie est trés tiste sans toi...................Ma vie est belle car je t'ai connu, toi

vendredi 13 avril 2007

Vivre en moi,







Tu me fais pleurer
Tu me donne la force de continuer

Tu remplis mon cœur de chagrin
Rien n’est indispensable pour moi, tout est vain

Je hais la vie quand je pense à toi
J’aime la vie quand je rêve de toi

Je suis complètement détruit car je vis sans toi
Je suis invincible puisque je vivrai sans toi

Ta photo me rappelle mon désespoir
Ton image me remplis d’espoir

Sans toi, ma vie n’est rien que de la douleur
Quand je pense à toi, tu me donne l’espoir

Je suis obligé de continuer sans toi
Mais, crois moi, tu vis en moi.

dimanche 8 avril 2007

Premier rendez-vous


Je me prépare pour te pleurer
Je me purifie l’âme pour être avec toi
Je me met en condition pour te voir comme tu l’as étais
Je paye mes dettes pour être prêt à te rencontrer
Je me décharge pour être à toi
Je répète les mêmes gestes qui m’ont guidé vers toi
Je me fais beau pour te séduire
Je galvanise ma volonté pour essayer de te rassurer

Demain, je serai avec toi,
Demain, tu ne sera pas avec moi,
Demain, je te rencontrerai pour la première fois

Demain, je resterai seul avec mes émois

La femme de mes rêve


J'aime une femme qui se consume pour son amour
J'aime les yeux d'une femme dans les quelle je noie mes souffrances
J'aime le sourire d’une femme qui soigne mes douleurs
J’aime le parfum d’une femme qui me transporte vers le paradis
J’aime la voix d’une femme qui fait vibrer mon cœur et calme mon esprit
J’aime le regard d’une femme aussi chaleureux qu’un feu de buche dans une nuit glacial.
J’aime l’attention d’une femme qui sonde mes pensées les plus profondes
J’aime les cheveux d’une femme que je rêverai de respirer
J’aime la beauté d’une femme qui me rappelle que je suis un homme
J’aime les oreilles d’une femme qui me donne envie de chuchoter
J’aime l’amour d’une femme qui m’entoure de toute les côtés

Cette femme existait. Maintenant elle n’existe plus.

samedi 7 avril 2007

L'histoire incoyable du coeur et du clou




Il était une fois dans des contrés lointaine, un cœur frivole. Il était beau, jeune et puissant.


Il aimait la musique. Sa voisine de palier, l'estomac, adorait danser sur le rythme de son tambourin. Ses meilleures amis, les poumons, aimaient faire du sport en sa compagnie. Son frère, le cerveau, était lui aussi son meilleur compagnons et son premier allier. Tout le voisinage partagait la force et la joie de vivre de ce cœur. Bien qu'il créait, de temps en temps, des scandales à cause de son libertinage excessive, tout le monde appréciait d'être proche de lui.

Mais, notre cœur n'était pas aussi content que l’on puisse pensait. Il avait un besoin pressant de faire l'aventure de sa vie. En effet, dans ce pays lointain, les cœurs les plus courageux partaient au printemps vers le sommet d'une montagne aussi belle que dangereuse.

La légende disait que personnes n’est arrivé à atteindre le sommet. D’ailleurs, la plupart des prétendant rebroussaient chemin juste après entré un petit peu dans la jungle qui entourait cet montagne.

La dite jungle était tellement dense et sauvage que les des cœurs aventuriers se retrouvent ressortir par ou ils ont rentré sans même s’en rendre compte.

Les moins chanceux perdurent la vie après avoir été attaqué par les dangers de la foret.

Mais notre cœur n’avez pas peur. Il avait une confiance aveugle dans sa destiné. Il se voyait au dessus de la montagne entrain de dominer le village par son regard. Il rêvait tout le temps de la gloire qu'il aurait à la fin de cet quête.

C'est pourquoi, et sans prévenir, il est parti vers la montagne. Il arpenta le chemin aride et entra dans la jungle.

Il roda longtemps entre les arbres et croisa plusieurs animaux sauvages et insectes venimeuses qu'il a su échapper.

Il avança sans s'avoir s'il était dans la bonne direction ou pas, jusqu'à ce qu'un jour il s'est retrouvé dans une brume tellement dense qu'il a perdu complètement tout sens d'orientation. Cette brume l'accompagna pendant longtemps, très longtemps, très très longtemps.

Il n'avançait plus, il errait plutôt. Son but était devenue tellement incertain pour lui, qu'il l'a abandonné.

C'est pourquoi il a laisser tomber la quête du sommet de la montagne pour se consacré à chercher le chemin de retour.

Comme un borgne, il tourna, tourna, tourna dans la jungle abyssal mais sans retrouver la voie de son village.

Mais, comme dans toute les histoires incroyables, sans prévenir, la chance a souri à notre héros.

Après qu'il est cru abandonné sa quête, il se retrouva soudainement sur une route claire et bien ensoleillée qui l'a mené directement vers le sommet de la montagne.

C'étais vraiment un endroit incroyable. On dirait le paradis sur terre. Il y avait des ruisseaux couleurs arc en ciel. Il y avait des petites gazelles qui sautaient par ci et par là. Les nuages étaient à porter de main. L'endroit avait une odeur magique qui ensorcela rapidement notre héros. C'est pourquoi ce dernier a décidé de ne plus revenir vers son village. Il a vite fait de construire une petite cabane juste sur la pointe de la montagne afin de dormir dans les bras des nuages quand vienne la nuit.

C'était la belle vie. Bien qu'il paraissaient seul, il avait ce petit paradis comme compagnons et allié.

Cette histoire est une tragédie. Et dans toute tragédie qui se respecte, il y a toujours une catastrophe.

En effet, une série de tremblement de terre frappa la montagne. C'est qui a provoqué sont effondrement et la destruction pur et simple du petit paradis qui s'y trouvait.

Notre malheureux cœur chuta alors des hauteurs de la montagne, tomba sur une terre sableuse en pente, se laissa rouler par terre comme un tonneau vide, pour terminer ce périple dans le buisson.

Il perdit connaissance pendant trois jours, pour se réveiller après dans les bras de ses amis et de sa famille.

En effet, pris de peur sur lui après le tremblement de terre et la destruction de la montagne, les villageois ont ratissé la jungle pour chercher s'il y avait des survivants.

Notre cœur, bien que retrouvait vivant, a eu le malheur de se faire transpercer de bout en bout par un grand clou de fer, qui se trouvait dans les buissons.

C'était un miracle que notre cœur n'ait pas perdit la vie. Après un diagnostique détaillé fait par les meilleurs médecins et magiciens du monde, on a décidé de ne pas retirer le bout de métal, car sa risquerai de créer une hémorragie irréversible.

Notre cœur s'est retrouvé obliger de continuer sa vie avec un bout de métal au fond de lui.

Il a reprit sa santé et est retourné à ses habitudes d'autan.

Mais, plus rien n'est redevenue comme avant. Le tambourin de notre cœur ne dégageait plus la joie de vivre qui faisait dansait l'estomac et incitait les poumons à allez vers l'avant.

La relation avec le cerveau est devenue glacial et réduite à la simple courtoisie.

Et petit à petit, le village a perdu de son éclat et est devenue ennuyant et maussade.
Le cloue a ensuite commencé à rouiller et à gonfler, ce qui causa des douleurs atroces qui poussa le cœur à hurler tout le temps, et créant ainsi un climat de malaise pesant et continue.
Comme cette situation a duré, les villageois ont en eu marre.
C’est pourquoi, ils creusèrent un trou profond, très profond, et on enterrèrent vivant le cœur ainsi que son clou!

mercredi 4 avril 2007

Un homme qui ne meurt jamais


Les yeux de cette homme ne brille pas.

Elles sont aussi sombres que celles d'une tête coupé.

Je suis sur que cet homme ne peut pas être tué.

Car il est certainement déjà mort!

(extrait de samurai champloo, the best manga in all time)

vendredi 30 mars 2007

Devoted to your love


Je suis rentré tard cet nuit.
Je jouait aux cartes avec mes amis.
Ils ont insisté pour me faire oublier mes ennuis.
Vaines efforts, mon cœur est toujours meurtri.


Ce soir c'est la pleine lune.
Elle aimait cette beauté divine.
je l'ai toujours guetté avec ma câline.
Ces yeux brillaient, elle était très fine.


Elle avais une étoile qu'elle l'appelait la sienne.
Elle l'adorait, elle voulait qu'elle soit aussi la mienne.
Mais, moi je préférai ma belle des plaines.
Elle était la lumière de ma vie vaine


Nous avons élaboré beaucoup de projets.
Elle a toujours apaisé mes difficultés.
Elle était toujours la pour mon âme blessé.
Elle me donnait la force de toujours gagné.


Elle était très défensive
Elle m'énervait parfois par sa jalousie maladive
Elle me tapait parfois sur le système avec son caractère possessive.
Maintenant, je donnerai ma vie pour que ces moments récidives.


Elle m'a incité à arrêter de boire
Grâce à elle, j'ai repris la prière.
Elle m'a poussé à vaincre mes déboires
Elle me préférai saint que dans la gloire


Je n'oublierai jamais son sourire
Quand je l'énervait elle se fâchait puis poussait un soupire
Puis ces yeux brillaient comme un saphir
Et me disait qu'elle pardonnait parce que je suis son Mounir.


Que Dieu béni ton âme ma *******ma
la vie ne t'a pas donné le temps que tu espéra
Pour concrétiser nos rêves et pour aller la bas,
**************************************ats.


Dieux sait combien tu était bonne
Tu me disait toujours que si je donne
dieux me récompensera par des tonnes
de bonheur et d'un esprit toujours jeune.


I loved you.
I love you And I will love you till the end of my life.
I wish to meet you in paradise.
You will be always in my heart You will be always in me

I will do my best to concretise our projects
I will continue to be helpful for people and honest in all cases.
I will be always a man.
I hope to remind the man that you liked.

It will be always me.
But I doubt if I will have back again to that happiness and that optimism I had.


I will do all my best to save your memory.
If I will succeed in my job and if I will create what I have promised you, it will be only for you and for the beauty of your eyes.


Dieux, je souhaite que la dernière chose dont je me souviendrai juste avant de mourir, c'est de me souvenir de ton serrement et de regarder la photo de mon amour et de quitter la vie en souriant .


Ce sourire sera certainement vrai, authentique et émanent de mon cœur.

Ça va être un sourira que je suis incapable d'avoir aujourd'hui.

Que Dieux ait pitié de ton âme ma ******ma. Tu sera dans mon cœur jusqu'à la fin.

To you my darling




My love I'm alone
My love I'm sad
My love I'm hurt
My love I'm crying


My girl like a flower
My girl like a moon
My girl like a sweet
My girl like me crying


My life is a hell
My life is a nightmare
My life is too long
My life is all crying


My dreams ends now
My dreams collapses now
My dreams disapears now
My dreams become tears and crying

I need to cry but I can't
I need to forget but I can't
I need to move forward but I can't
I need to laugh but I'm always crying

Crying without tears is like hole in the heart
Crying without sound is like knif in the heart
Crying without lamentation is like a poison in the heart
Crying without crying is like a bomb in the heart

My flour you let me alone.
My love you let me alone.
My beauty you let me alone.
I can't even cry you.
I will always miss you.

I need to cry.
I need to cry.
I need to cry

Le jour ou tout à changé



2 comme mes deux yeux qui sont devenus sombres.
8 comme un signe de maleur et de mauvais presage.


0 comme la valeur de ma vie sans elle.
1 comme le grand amour que ne se repête point.


0 comme le gouffre qui avale mes sentiments.
7 comme le ciel ou je rejoindrerai mon amour.


Cette date est gravé sur mon coeur avec des cloues qui, jour aprés jour, gonfle avec de la rouille et massacre le receptacle de mon existance.

J'ai compris la vie, le jour ou elle l'a quité.
Je ne vivrai que pour pleurer sa mort.

Le Clandestin et la rose


Il était une fois, un jeune homme, chômeur de son état et sans le sou. Bien que la nature lui a donné la force, l'ambition et un petit peu de débrouillardise, il n'a pas pu arracher sa place au soleil. Il faut dire que les boulots manquaient énormément dans son pays.

Sous l'emprise du désespoir, il a décidé de jouer le tout pour le tout en embarquant avec d'autres dans le petit bateau d'un passeur à la destination de l'Europe.

Le jour J, tout le monde a pris la mer sous la couverture de la nuit. Tout se passait bien au début. Etre en compagnie de quinze hommes, entre ciel et mer dans une vielle barque mangeant que des sardines, n'était pas vraiment le grand bonheur. Mais tout le monde étaient gonflés à bloc par l'espoir de la fortune qui les attendaient au bout du voyage.

Sauf que l'orage était lui aussi du chemin. Quelque grosse vague par une nuit sans étoiles, ont suffit pour déchiqueter le bateau et pour éparpiller les passagers comme des vieux brindilles dans un désert.

Notre homme a eu la clairvoyance d'attacher un grand bidon vide en plastique, à sa poitrine. Miraculeusement, il s'est réveillé à la première lueur du soleil, tout seul, les jambes à l'eau, dans une mer calme et sans fin.

La soif et le froid ne se sont pas fait attendre. Il a même récité ses prières. D'ailleurs se sont celles la qui lui ont empêchés de se détacher volontairement de son bidon, tellement il avait mal. Il avait des grandes douleurs physiques et un sentiment d'abattement monstre.

Soudain, il aperçoit un petit sac en plastique, gonflé comme un ballon, qui flottait à une vingtaine de mètre devant lui.

Croyant que c'était de la bouffe, il a dépensé ce que lui restait de force, pour l'atteindre.
Mais qu'elle fût sa désillusion lors qu'il trouva à l'intérieur un rose, rouge de sang, pleine d'épine, et dont le bulbe était mis dans un sort d'éponge remplis de terre noir. Sans réfléchir, il a voulu l'avaler. Mais sa force l'a quitté d'un coup, et il a perdu connaissance.

Comme par hasard, un bateau de croisière passait non loin du naufragé, et comme la vie est un miracle, la femme du capitaine a aperçu notre homme à travers ses jumelles.
La quinquagénaire d’origine italienne n'a pas pu résister à l'image de cette homme, attaché à un bidon en plastique, ayant l'air mort, et qui tenait malgré tout dans sa poigné un belle rose.
Elle a vu dans en cette situation, un homme qui tenait à la rose plus qu'il ne tenait à sa vie.
Cette image lui a rappelé la perte de sa fille. C'est pour cette raison qu'elle a obligé son mari a repêché l'homme et sa rose.

Et qu'elle fût sont soulagement quand elle a remarqué que notre héros respirait encore.
Tout les soins lui ont été administré et il a été mis dans un lit chaud, dans une petite cabine prés des moteur, jusqu'à ce qu'il reprenne connaissance.

La rose a était mise dans un beau vase et installé à la demande de la patronne au chevet du malade, car elle pensait que celle-ci était très chère pour lui et qu'elle l'aiderait à se rétablir rapidement.

Notre mec chanceux, a dormi pendant trois jour consécutive sous les surveillance de la rose. La femme du capitaine veillait personnellement à s'occuper de la plante chaque matin.
Elle pleurait même devant cette amour insensée entre un homme et une rose. Elle imagina que la fleur devrait être un souvenir d'un être chère à notre naufragé.

Pendant ses longues jours de sommeil, notre homme ouvrait de temps en temps les paupières. La seul chose qu'il voyait avec ses yeux brumeux était les pétales rouge de sang de la rose.

Après ce long sommeil réparateur, notre homme a commencé à reprendre ses forces.

Et bien qu'il ne comprenait aucun mot latin, il a deviné que son sauvetage était dû en quelque sorte à la rose. Cette dernière est même devenu plus belle et plus éclatante.

L'histoire du naufragé et de sa rose s'est vite propagée dans le croiseur. Tout les passagers, qui étaient dans la majorité du troisième âge, ont eu de la sympathie pour notre homme, a telle point qu'ils se sont proposés de le prendre en charge à leurs frais dans une suite nuptiale rien qu'a lui et a sa rose.

Notre héro, ayant repris ses forces, a commencé à connaître la clientèle riche du paquebot et à partager leurs loisir et leurs jeux. Il passait toute sa journée à manger de la bonne bouffe, à boire du très bon vin. Il rentrait trop tard le soir à sa suite pour se jeter comme un porc dans les draps en soie du lit. La rose quand a elle, ayant perdu les soins que lui administrait la femme du capitaine, a perdu son éclat et petit à petit se sépara de toute de ses pétales.

Quelle fut l’effondrement de la femme du capitaine quand elle s’est rendu compte de piteux état de la fleur. C’est pour cette raison qu’elle s’est réfugié dans sa chambre et s’est isolé de tout le monde, ne serait ce que pour éviter de rencontrer notre clandestin heureux entrain de croquer la vie à plein dent en toute insouciance vis à vis de l’état de la rose qui lui a sauvé d’une mort certaine.

Le capitaine ne voyait pas d’une bonne œil cette situation surtout que le clandestin représentait pour lui un grand problème administrative et juridique. Le naufragé n’avait aucun papier sur lui lorsqu’il fût sauvé, donc aucune patri, aucun pays. Notre capitaine pourrait avoir des graves problèmes avec les autorités portière lorsque la croisière toucherait à sa fin.

C’est pourquoi, il a profité du désintéressement de la patronne, pour éradiquer le problème d’un trait.

Il a ordonné à ses hommes de main d’extraire le clandestins de son lit alors qu’il était ivre, et de le jeter dans la mer dans les abords d’une petite ile.

Et dans un geste de haine et de mépris à l’égard du clandestin, le capitaine lui a même jetée derrière ce qui restait de la rose.

Au contact de l’eau glacé, notre pauvre homme s’est réveillé brusquement pour voire le paquebot qui s’éloignait.

Alors, il a criait, hurlait de toute ses forces, mais en vain.
Quand il retrouva devant lui, sa rose méconnaissable et dépourvu de presque toute ses pétales, il la saisissa dans ses main, l’embrassa très chaleureusement , pleura comme un gamin toute les larmes de son corps, puis se laissa couler dans l’eau tout en tenant la tige de sa rose.