Un amour profond comme la mer ou nage cet homme
Un homme qui s’ennuie et qui râle comme tout être humain jamais satisfait
La Satisfaction comme ce plaisir que tout le monde court derrière mais que seuls quelques uns y arrivent
On est arrivée à un stade avancé comme la ou les choses ont commencé à concrétiser
La concrétisation du pouvoir de dieu comme chaque fois ou une catastrophe frappe la terre soudainement
Soudain comme la vie qui se transforme en mort
La mort comme une situation qui souffle un silence abyssal
L’abysse comme le gouffre de mon cœur dans le quel je me suis plongé
Un plongeon comme ou l’on saute dans les oubliettes
Oubliette comme la ou sont allé mes espérance de bonheur
Le bonheur comme ce sentiment illusoire et instantané qui n’ai qu’un doux rêve
Le rêve qui s’arrête comme une voiture qui heurte un mur à plein vitesse
Plein vitesse comme les idées noire qui se bouscule dans ma tête
Ma tête comme un chaudron sur le quel glisse des gouttes d’eau
De l’eau comme mes larmes qui ruissellent en creusant ma volonté de vivre
La vie comme une histoire qui s’allonge et devient répétitive et insignifiante
L’insignifiance de tout ce qui matériel comme l’or que l’on donne à un assoiffé dans un désert
Le désert comme le vide qui rempli mon cœur
Mon cœur qui devient comme une vielle bécane qui a besoin d’être poussée
La poussée comme l’espoir qui essaye d’éclaircir la noirceur de la nuit
Mes nuits qui sont belles comme le sourire du poète quand il sombre dans la mélancolie
La mélancolie qui bouffe l’âme mais jamais les souvenirs
Mes souvenirs qui me rappellent comme quand je croyais vivre pour moi même
Moi même qui change d’avis comme le fait les hommes dans la situation de choc
Choc comme ou je n’ai pas pu être malheureux devant les gens malheur qu’après avoir cité dieu
Dieu dont la volonté n’a pas de limite comme cet tristesse qui se transforme en rage et cynisme
Cynisme qui rattrape l’homme quand il vieilli comme rattrape une ombre qui suit sont esclave
Esclave de mes souvenirs comme je ne peux que l’être
Etre ou finir le sombre dilemme difficile comme le choix que je prend chaque instant
Les instants de bonheurs que j’ai connu et qui ne reviendrons jamais plus
Plus comme plus rien à l’intérieur de mon cœur
Le cœur qui ne peut être que l’allié d’une personne comme moi
Moi qui existe pour toi
Toi qui es parti comme si tu n’a jamais existé
L’existence d’une autre vie est impossible comme mourir heureux
Heureux je vais l’être comme l’a ou j’ai naquis
Naissance d’une quête vers l’avant comme une vie qui doit continuer
Continues mais ne jamais oublié l’amour
Un homme qui s’ennuie et qui râle comme tout être humain jamais satisfait
La Satisfaction comme ce plaisir que tout le monde court derrière mais que seuls quelques uns y arrivent
On est arrivée à un stade avancé comme la ou les choses ont commencé à concrétiser
La concrétisation du pouvoir de dieu comme chaque fois ou une catastrophe frappe la terre soudainement
Soudain comme la vie qui se transforme en mort
La mort comme une situation qui souffle un silence abyssal
L’abysse comme le gouffre de mon cœur dans le quel je me suis plongé
Un plongeon comme ou l’on saute dans les oubliettes
Oubliette comme la ou sont allé mes espérance de bonheur
Le bonheur comme ce sentiment illusoire et instantané qui n’ai qu’un doux rêve
Le rêve qui s’arrête comme une voiture qui heurte un mur à plein vitesse
Plein vitesse comme les idées noire qui se bouscule dans ma tête
Ma tête comme un chaudron sur le quel glisse des gouttes d’eau
De l’eau comme mes larmes qui ruissellent en creusant ma volonté de vivre
La vie comme une histoire qui s’allonge et devient répétitive et insignifiante
L’insignifiance de tout ce qui matériel comme l’or que l’on donne à un assoiffé dans un désert
Le désert comme le vide qui rempli mon cœur
Mon cœur qui devient comme une vielle bécane qui a besoin d’être poussée
La poussée comme l’espoir qui essaye d’éclaircir la noirceur de la nuit
Mes nuits qui sont belles comme le sourire du poète quand il sombre dans la mélancolie
La mélancolie qui bouffe l’âme mais jamais les souvenirs
Mes souvenirs qui me rappellent comme quand je croyais vivre pour moi même
Moi même qui change d’avis comme le fait les hommes dans la situation de choc
Choc comme ou je n’ai pas pu être malheureux devant les gens malheur qu’après avoir cité dieu
Dieu dont la volonté n’a pas de limite comme cet tristesse qui se transforme en rage et cynisme
Cynisme qui rattrape l’homme quand il vieilli comme rattrape une ombre qui suit sont esclave
Esclave de mes souvenirs comme je ne peux que l’être
Etre ou finir le sombre dilemme difficile comme le choix que je prend chaque instant
Les instants de bonheurs que j’ai connu et qui ne reviendrons jamais plus
Plus comme plus rien à l’intérieur de mon cœur
Le cœur qui ne peut être que l’allié d’une personne comme moi
Moi qui existe pour toi
Toi qui es parti comme si tu n’a jamais existé
L’existence d’une autre vie est impossible comme mourir heureux
Heureux je vais l’être comme l’a ou j’ai naquis
Naissance d’une quête vers l’avant comme une vie qui doit continuer
Continues mais ne jamais oublié l’amour
2 commentaires:
pour parler d'une chaine, ca en est une mais qui rengorge un alignement de tristesse et des notes d'espoir!!
continues a exterioriser, ca te fera bp de bien j'en suis sure :))
au plaisir
Amour qui t'as guidé et ne cessera de te guider sous toutes ces formes je l'espère!
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